Maître Guyon, avocat : « Les dés sont pipés » (vidéo 19:24)

Maître David Guyon est avocat en droit public à Montpellier. Ces deux dernières années, il a défendu les dossiers de nombreuses personnes contestant les mesures prises dans le cadre de la crise sanitaire (confinements, couvre-feux, vaccination, pass sanitaire, suspension de la rémunération, indemnisation des préjudices subis en raison des mesures sanitaires).

 

Dans un entretien donné à Nexus lors du Conseil scientifique indépendant qui s’est déroulé à Saintes le 18 mai 2023, il revient sur la crise Covid et nous explique où en est actuellement la loi sur l’obligation vaccinale du 5 août 2021.

◆ On présentait les corps aux familles dans des cercueils… fermés !

Maître Guyon explique avoir obtenu une belle victoire : «  On a obtenu l’annulation de la « mise en bière immédiate » par le Conseil d’État qui a jugé cette mesure « disproportionnée ». Maître Guyon rappelle que lorsqu’on décédait en mars 2020, on ne savait pas si on avait le Covid. Conséquence : « On plaçait le corps des personnes décédées dans une bâche en plastique, puis dans des cercueils fermés hermétiquement et on présentait aux familles uniquement des cercueils qui étaient fermés ! Est-ce qu’il s’agissait véritablement de la personne décédée ? On ne pouvait pas vérifier. »

◆ « Les dés sont pipés »

« Lorsque vous saisissez un juge, vous vous attendez à ce que le juge soit indépendant et impartial et qu’il applique les règles de droit. Aujourd’hui, le droit que j’enseigne à mes étudiants n’est pas le droit appliqué par nos juridictions. Parce qu’on a validé le pass sanitaire, le pass vaccinal, la suspension sans rémunération à durée illimitée, l’absence d’indemnisation pour les soignants qui ont été suspendus. Si on appliquait les règles de droit, nous ne serions pas dans une telle situation. »

◆ La suspension de la loi du 5 août et non l’abrogation

Par ailleurs, Me Guyon évoque le décret relatif à la suspension de l’obligation vaccinale paru le 14 mai 2023. Le 4 mai de cette même année, c’est l’abrogation de cette loi qui a été demandée par un groupe parlementaire et validée par le Parlement. La proposition de loi pour abroger l’obligation vaccinale est désormais en première lecture devant le Sénat.

Si aucune entente n’est trouvée entre les deux chambres, aux oubliettes l’abrogation de l’obligation vaccinale, c’est sa suspension qui perdurera : « Si demain, la situation sanitaire se dégrade, si demain la Haute Autorité de santé prend un autre avis et recommande une nouvelle dose de vaccination », les soignants « pourraient être de nouveau suspendus sans rémunération par la simple édiction d’un nouveau décret. »

👉 Voir notre entretien de 20mn avec maître Guyon : 

👉 Voir notre bonus avec lui sur l’obligation vaccinale :

👉 Lire notre dossier « Corruption et bureaucratie – L’effondrement du système de santé » dans notre numéro 146 actuellement en vente en kiosque et en ligne :

Entretiens par Marc Daoud et Estelle Brattesani
Montage par Armel Joubert des Ouches

Nexus

Trois ans d’aventure Covid résumés en 1 600 mots

Cet article, comme les milliers d’autres que nous relayons depuis des années, peut comporter des prises de position qui n’engagent que son auteur. Il nous parait néanmoins essentiel par son approche synthétique d’une situation complexe et qui s’inscrit dans le temps. (NDLA)

Pour comprendre quelque chose de logique au sac d’embrouilles de la sombre histoire Covid, il faut aller juste à l’essentiel des évènements factuels et oublier le narratif superficiel et stérile des médias pour égarer les esprits. Même si je commets quelques erreurs dans le méli-mélo historique cela ne change rien sur le fond de ma démarche.

ÉPISODE 1 : Préparation panique mondiale

En 2019 la ville de Wuhan en Chine où siège le laboratoire de sécurité virale P4, est secrètement désignée pour être le lieu de lancement expérimental d’une épidémie par corona virus – Toute la population reçoit préalablement un faux vaccin antigrippe obligatoire (chargé d’oxyde de graphène) – ceci sera dévoilé plus tard factures en main par la journaliste scientifique américaine Karen Kingston – En même temps une installation de 10 000 antennes relais 5G est effectuée à travers la ville (détail important).

En janvier 2020 des passants à Wuhan tombent par terre çà et là dans la rue, foudroyés par une mort subite – des images parlant d’un virus mystérieux nommé (C 19) passent dans les journaux du monde entier qui donnent l’alerte d’une possible pandémie – En même temps il tombe sur le sol des milliers d’oiseaux et d’insectes morts en plein vol. Silence radio sur ce détail…

La presse annonce une terrible grippe par un corona virus ayant pour origine des chauve-souris et des pangolins infectés vendus sur le marché. Logiquement quand on est terrassé par une grippe, on est au fond de son lit et non pas en train de se promener dans la rue, et on ne meurt pas subitement…

Or en 2011 l’institut Pasteur avait déposé deux brevets d’un « vaccin » type ARNm contre une maladie épidémique dont on ne connaissait pas encore l’existence (BIZARRE !)… ceci à partir d’un coronavirus SRAS2 OGM donc n’existant pas dans la nature, une chimère signée Microsoft donnant une grosse grippe pulmonaire -– L’insertion confidentielle d’oxyde de graphène n’apparaitra que dans un brevet Chinois et pas dans le brevet US).

ÉPISODE 2 : Que s’est-il réellement passé à Wuhan ?

En fait le « fog » de la 5 G émetteur d’une onde mortifère associé au graphène du faux vaccin ARNm a transformé les gens en antennes ambulantes de réception. Mais il ne fallait pas que cela se sache afin de capter l’attention du public vers le seul corona C19 qui servait de faux drapeau – et tout le monde (y compris les scientifiques) s’est engouffré dans ce miroir aux alouettes. Le but était de créer une panique générale face à un faux ennemi : le C 19, ce qui allait faire accepter un vaccin qui tue.

Le principe est toujours le même :
Effrayer les gens avec une vraie ou fausse maladie afin de leur proposer un «remède miracle » qui va les abimer et rentabiliser à vie les uns ou tuer les autres.

J’ai appris tout cela en détail quelques mois plus tard par un laboratoire de recherche indépendant, ce qui m’a valu la perte de plusieurs milliers d’abonnés…J’ai expliqué que la 5G a été chargée de la fréquence 60 gigaHertz (milliards de Hertz) qui est la fréquence de résonance de l’oxygène – or sous cette forme excitée l’hémoglobine du sang ne peut plus s’y combiner pour le véhiculer, d’où asphyxie partielle ou complète des victimes injectées vivant sous rayonnement 5G. Depuis divers labos indépendants ont totalement confirmé cette information.

ÉPISODE 3 : Pourquoi tant de morts subites – retards ?

La propriété de supraconductibilité électrique et surtout magnétique bien connue du graphène nanométrique agit sur les globules rouges puisqu’ils contiennent du fer et les collent tous Nord/Sud comme tous les aimants, formant de grands vers en tortillons dans les circuits sanguins – ils peuvent créer ainsi des bouchons dans des coins stratégiques comme le cœur (d’où embolies cardiaques), dans le cerveau (d’où AVC embolie cérébrale), ou dans les poumons (d’où embolie pulmonaire).

Et ce n’est pas tout car ce graphène nanométrique est sous forme de microscopiques lames de rasoir qui blessent à la fois les globules rouges et les parois des vaisseaux – les plaquettes arrivent alors en masse pour cautériser les millions de micro blessures, ceci créant autant de micro caillots qui épaississent le sang jusqu’à le transformer en « confiture » – Là c’est danger de mort imminent !

Les autopsies de ces victimes montrent des sites vasculaires dévastés avec un mélange de caillots et de débris de vaisseaux impressionnants.

Et c’est pour cela qu’il convient surtout pour les vaxés de se faire établir d’urgence un D dimer (je le répète sans cesse) par un laboratoire médical qui va mesurer la viscosité du sang, la valeur en UI ne devant pas dépasser 10 fois votre âge (50 ans = 500 Ui). Mais qui parle de cela ? Quelques médecins hors- pistes émancipés de la doxa officielle….

ÉPISODE 4 : Des faux vaccins destructeurs

La Quinta Culumna observatoire espagnol de la santé publique suite à l’analyse de « vaccins » Pfizer et moderna n’y a trouvé aucune trace de souche vaccinale de Covid – normal puisque ce virus chimère n’a jamais pu être capturé ni isolé. Ce n’est donc pas un vaccin.
Par contre en plus du graphène, ils ont trouvé de la PROTEINE SPIKE et de l’HYDROGEL DARPA qui sont deux poisons codants du génome. La spike pénètre dans les cellules et les fait travailler à sa propre reproduction dans tout l’organisme. Ensuite elle détruit le programme immunitaire pour le remplacer par une réaction auto-immune de septicémie générale gravissime en cas d’attaque virale.

L’hydrogel facilite la pénétration cellulaire de la spike et inhibe la glande pinéale qui est un relai des informations cosmiques.

NOTA : Il est curieux qu’aucuns des ténors virologues et épidémiologistes contestataires, à part Le Dr Astrid Stükelberger ne parlent de ces trois responsables majeurs de l’hécatombe qui sévit depuis 3 années parmi les vaxés. Font-ils face à une terrible omerta ?

ÉPISODE 5 : la découverte de 3 lots de vaccins

Il est légitime de se poser la question : pourquoi tout le monde n’est pas handicapé voire terrassé après avoir été injecté d’un ou plusieurs de ces poisons ? La réponse est simple : si tout le monde était touché, la relation avec le vax serait évidente – Or les analyses d’échantillonnages montrent l’existence de 3 lots :

• Lots n° 1 ne contenant que du sérum physiologique
• Lots n° 2 sous dosés en poisons (vous risquez d’être malade)
• Lots n° 3 à dose maximum (vous risquez la mort prématurée)

C’est donc la roulette russe !!! Sauf pour les politiques et collabos patentés qui ont bénéficié des lots n° 1.

ÉPISODE 6 : Des mesures criminelles tous azimuts

Alors que Bill Gates préconisait l’éradication de 90% de l’humanité
Il a imposé un « vaccin » pour protéger les gens (BIZARRE !)

C’est ainsi que :

• Dans les EHPADS on a «protégé» les vieux en les liquidant au REMDEVISIR
• Dans les hôpitaux on a massacré les grippés par corona aux paracétamols
• L’on a confiné chez eux des milliers de grippés sans soins
• L’on a interdit tous les médicaments reconnus efficaces contre le C 19
• L’on a obligé les gens au port d’un masque inadapté aux virus et catastrophique pour les enfants à l’école
• L’on a obligé les gens à se soumettre à un test PCR non fiable et discriminatoire
• L’on a puni les médecins qui guérissaient leurs patients avec des traitements retirés des pharmacies en France
• Les médias ont menti sur tous les chiffres en inversant les résultats et en cachant les succès flagrants des pays non alignés sur l’OMS

NOTA : les 20% des français qui ont refusé le vax maudit n’ont présenté aucun des symptômes courants parmi les vaxés.

ÉPISODE 7 : Une histoire sans fin

Pourquoi régulièrement une nouvelle épidémie ? Tout simplement en raison du fait que le Covid étant un montage chimérique donc non issu de la nature, doit muter sans cesse jusqu’à retrouver son statut d’origine, ainsi que l’a expliqué le Pr Luc Montagnier – Pour chaque mutation épidémique soit-disant plus dangereuse que jamais (tel le Marburg) il faut logiquement un nouveau vax, mais c’est du cinéma puisque nous avons vu que l’on n’a jamais pu isoler le virus.

Par contre c’est une bonne occasion pour vous mettre une recharge supplémentaire des 3 poisons qui tuent, du moins pour ceux qui n’ont toujours pas compris que l’on s’est payé leur tête depuis le départ…. et que le risque pour leur vie est cumulatif.
A noter que l’Afrique qui s’est dissociée délibérément du joug OMS depuis le départ, a été très peu touchée par cette pandémie, non pas virale mais vaccinale et utilise massivement l’artémisia annua millénaire.

ÉPISODE 8 : Mort de la cabale et libération des peuples !

Une grande partie des Français se réveille enfin, précédée comme d’habitude par le peuple américain de Trump – la population se rend enfin compte qu’elle a été mortellement trompée – il n’y a que les profiteurs collabos qui ne réclament pas la démission de Macron, ce malade mental qui est moqué par la plupart des pays étrangers.

Sur le plan mondial, ceux qui suivent autre chose que télé mensonges peuvent constater que la cabale satanique OTAN compris est en pleine décomposition, que son dernier recours par une guerre nucléaire mondiale est avorté et qu’elle a définitivement perdu la partie.

Comme nous l’avions prévu, 2023 nous offre la libération des peuples par la grande sagesse stratégique des 3 mousquetaires sauveurs que j’ai toujours soutenus : TRUMP – POUTINE – XI JINPING. (Honni soit qui mal y pense) – Ne vous inquiétez pas des mesures socio-culturelles et bancaires catastrophiques qu’on nous promet, elles ne pourront pas aboutir. (Je respecte les opinions et notamment celles du courageux Michel Dogna mais je ne peux le suivre lorsqu’il qualifie de « sauveurs » les Trump, Poutine et Xi Jinping. Certes, il est des dirigeants moins calamiteux que les autres mais selon moi, tous appartiennent, à des degrés divers, à la Matrice. Nous n’avons d’autre option que de choisir le moindre mal. NDLA)

Un nouvel e-book sera présenté le mois prochain titrant : Vérités interdites et savoirs coupables.

Michel Dogna

Martine Gardénal, ancien médecin de l’équipe olympique : « Il y a une perte de puissance de 40 % chez les sportifs vaccinés »

Clémence Houdiakova recevait, sur Ligne Droite, Martine Gardénal, médecin homéopathe, médecin du sport, anciennement médecin de l’équipe olympique. Lors de cet entretien, Martine Gardénal jette un pavé dans la mare : « Il y a des sportifs qui se plaignent d’une grande fatigabilité. Une étude publiée au mois de juin — tout ça reste silencieux pour ne pas ébruiter que ces injections ont des effets secondaires — annonçait une perte de puissance et de fatigabilité qui modifiait les résultats de 40 %. C’est énorme, on perd la moitié de ses résultats. »

Le media en 442

ALERTE ROUGE ! Ajout d’ARNm dans tous les vaccins classiques

Michael YEADON (ex-scientifique en chef de Pfizer) alerte le public sur la transformation de tous les anciens vaccins classiques en leur incluant la nouvelle technologie ARNm, ce qui va avoir un effet dévastateur sur l’immunité des enfants.

Oui les compagnies pharmaceutiques fabriquent désormais tous les vieux vaccins sous la formule d’ARNm ! Chaque gouvernement est obligé d’acheter 10 injections par personne, homme, femme ou bébé, dans chaque pays ! C’est le nouveau plan de dépopulation. Mieux, après avoir détruit notre système immunitaire, ils vont rendre le peuple d’esclaves dépendant de traitements (payants) pour pouvoir survivre !ce qui ne sera évidemment possible qu’aux riches…

Encore une fois comprenez que TOUS LES VACCINS, quels qu’ils soient, nouveaux ou “anciens”, SERONT DÉSORMAIS à ARNm (même ceux obligatoires pour les nourrissons)

C’est un coup d’Etat invisible impitoyable en cours. Nous savions qu’il allait arriver et il prend forme – (Hervé Juvin député européen) Mais cet abominable nouveau crime contre l’humanité peut encore échouer si tout simplement tout le monde dit dès maintenant : NON

NON !

Effets délétères des vaccins à ARNm
possibilités des « joyeusetés » conséquentes

A COURT TERME (de 0 à 30 jours)

        • Attaques cardiaques
        • AVC
        • Avortements spontanés
        • Caillots sanguins
        • Choc anaphylactique
        • Embolie pulmonaire
        • Myocardite (surtout chez les jeunes)
        • Thromboses

A MOYEN TERME (de 1 à 12 mois)

        • Destruction neurologique type prion (ex Creutzfeldt-Jakob)
        • Immunodéficience
        • Insuffisance cardiaque
        • Réactions auto-immunes

A LONG TERME (1 à 10 ans)

        • Cancers
        • Déficit immunitaire sévère
        • Dommages chromosomiques dus à la protéine spike
        • Infertilité
        • Maladies auto-immunes mortelles
        • Suppression des mécanismes de réparation de l’ADN
        • Troubles du système reproducteur

NOTA MD : Il a été dit que ces conséquences concernaient les vaxx ARNm Covid – En fait, il faut d’abord rappeler que la durée de vie d’un virus est de 70 jours, d’autant plus lorsqu’ii a été bricolé avec un amalgame informatique – il mutera donc sans cesse pour retrouver sa forme originale existant dans la nature et dont la constitution respecte la série de Fibonaci.

De plus, ainsi que je l’ai déjà évoqué, la Quinta culumna (observatoire de la santé publique espagnole) n’a jamais relevé de traces de séquences de virus cov 19 dans les vaxx Pfizer et autres, ce qui est normal puisque l’on n’a jamais réussi à l’isoler – Alors comment aurait on pu en faire une forme atténuée ?

Ceci pour confirmer que les effets toxiques des vaxx ARNm présentés ci-dessus restent valides quels que soient les vaccins classiques qui y sont associés, dont la plupart sont obligatoires.

Il s’agit d’une manipulation criminelle de grande envergure visant précisément tous les jeunes ceux-ci représentant la réserve démographique de notre avenir….

Michel Dogna

Davos : Vers la révision de l’appropriation et du droit de propriété

Cet article vient à point pour rappeler que l’un des objectifs majeurs de la caste mondialiste du Forum de Davos mais pas seulement, prévoit de supprimer progressivement le droit de propriété et de dépouiller, à coups de législations et surtout de fiscalité, les citoyens de toute propriété. N’oublions jamais cette phrase de Klaus Schwab, président et fondateur du Forum économique mondial : « Vous n’aurez rien et vous serez heureux ». Il oublie de préciser que lui et ses proches auront tout comme en témoigne l’inflation galopante du nombre de milliardaires dans le monde. Relire le livre « Dépossession » que nous avons évoqué sur ce blog et qui évoque cette captation accélérée des richesses par une infime minorité. (NDLA)

Par ADJ (e.r.) François Dubois via Profession Gendarme

François Dubois, Adjudant (e.r.) de Gendarmerie

Narration et dépossession :

Les volets environnementaux, sanitaires et sécuritaires nous sont aujourd’hui présentés comme les problématiques fondamentales auxquelles nous allons devoir nous confronter dans les décennies à venir.

Ces problématiques sont des narrations spectaculaires, produits de la « société du spectacle » au sens de Debord, elles s’appuient parfois sur des mensonges éhontés, parfois sur des manipulations, parfois sur des exagérations, des déformations ou des interprétations erronées du réel, le tout, entrecoupé de vérités afin de brouiller les pistes et de complexifier toute velléité de discernement.

Le temps de la paix est terminé. Si beaucoup de français se sentent démoralisés, ils sont nombreux à ignorer les conséquences réelles de leurs maux. La vérité, une fois n’est pas coutume, c’est E.Macron qui nous l’a déclarée : « nous sommes en guerre ».

Aujourd’hui, beaucoup de nos concitoyens, en colère, subissent inconsciemment, cette pluie de narratifs qui s’abat sur eux, pensant à tort s’inscrire dans un futur, que seules les interactions fortuites de l’activité et du développement humain auraient rendu dystopique.

Pis encore, il y a ceux qui, dans un déni d’acceptation du réel, illusionnés par le spectacle psychotique dont ils font partie intégrante, taxent de complotisme ceux qui avancent que ce que nous vivons ne relève pas du hasard, de la malchance ou de simples incompétences.

Ces kapos, parfois acteurs, parfois victimes de la société du spectacle ne s’interrogent plus du caractère continuel, répété et omnipotents de ces narratifs, qui depuis une dizaine d’années sont littéralement venus rythmer notre vie au point de la commander. Leur caractère négatif, récurent et globalisant à l’échelle planétaire, ne les interroge même plus ; l’anxiété, l’angoisse ou la peur étant devenues des normes qu’ils ont communément intégrées.

Pour ces victimes, l’émotionnel prédomine et elles ne conceptualisent ni ne résonnent en termes rationnels. Combien se laissent subjuguer et obéissent, simplement sidérées par la soudaineté et l’imprévisibilité de l’actualité ? J’en veux pour preuve que si la rationalité avait été le précepte dominant pendant la crise covid, c’est le principe de précaution qui aurait prévalu sur cette vaccination de masse avec ces produits sous AMM conditionnelle : les risques liés à l’injection n’auraient dû être uniquement pris qu’avec une frange de la population qui présentait un péril imminent (c’est à dire une infime minorité).

Eu égard le nombre colossal de personnes vaccinées, risquer la vie à court, moyen ou long terme, de ces millions d’individus sur la base d’un simple rapport de confiance (les phases d’essais n’étant pas finies) envers des entreprises pourtant pluri délinquantes et maintes fois condamnées, était totalement irrationnel !

Mais il ne sert à rien de s’étendre la dessus, les faits montrent qu’une fois de plus, les « complotistes » avaient raison. Les effets secondaires sont nombreux (et nous sommes encore dans le court terme), le virus s‘est avéré bien moins létal que prévu* et le vaccin exagérément moins efficace qu’annoncé au départ. Ce n’est pas « conspiracy watch », dont l’idéologie globaliste transpire à travers l’anglicisme adopté en guise de nom, qui pourra désormais contester mes dires. Cet outil du spectacle, aujourd’hui suspecté d’être financé par les fonds Marianne de Marlène Schiappa a par ailleurs menti éhontément, et à maintes reprises, sur les sujets qu’il avait pour mission de « fact checker ». C’est aujourd’hui parfaitement démontrable.

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Ursula von der Leyen était administratrice du Forum de Davos jusqu’en 2019

 

Ursula von der Leyen est-elle la reine du conflit d’intérêts ? Beaucoup le pensent, mais peinent à le prouver. Certains éléments intriguent toutefois. C’est en particulier le cas de sa déclaration de conflits d’intérêts publiée… en 2021 ! pour des fonctions commencées deux ans plus tôt. La lecture de cette déclaration ne manque vraiment pas de sel…

Première remarque : Ursula von der Leyen a été choisie durant l’été 2019 comme présidente de la Commission européenne. Mais sa déclaration d’intérêts est datée du 18 janvier 2021. Pour quelle raison a-t-il fallu attendre 18 mois pour bénéficier de ce document ? La question mériterait d’être étudiée de près.

Dans tous les cas, ce document mérite d’être lu pour mieux comprendre la politique mondialiste assumée que mène la présidente de la Commission, souvent au mépris des traités.

Administratrice du Forum de Davos

Premier point digne d’intérêt : la présidente de la Commission Européenne était, jusqu’à sa nomination à Bruxelles, membre du Conseil d’Administration du Forum de Davos. Ce point souligne la proximité de la Présidente avec le Great Reset, dont elle est une bonne élève, notamment en matière de vaccination.

On notera qu’elle était aussi administratrice de la Conférence de Munich sur la Sécurité, organe atlantiste consacré aux questions de défense.

Engagement lesbien et gay

Autre particularité de cette déclaration d’intérêts : Ursula von der Leyen, qui était vice-présidente du parti chrétien-démocrate (CDU), y avait multiplié les engagements “exotiques”. Elle était par exemple membre de la “Lesben- und SchwulenUnion, Niedersachsen”, l’Union des gays et lesbiennes de Basse-Saxe, une section du parti fondée sur l’orientation sexuelle. On comprend mieux sa perméabilité à ces enjeux.

Un grand silence sur son patrimoine personnel

Concernant son patrimoine personnel, Ursula von der Leyen ne déclare absolument rien. Ce silence ne manque pas d’étonner, s’agissant de l’héritière d’une famille de riches commerçants hanséatiques, les Albrecht.

Visiblement, personne n’a rien trouvé à redire à ce passage sous silence.

Heiko von der Leyen, l’épine dans le pied

S’agissant des activités de son mari, Ursula signale quelques points d’intérêt.

Elle rappelle qu’il est directeur médical d’Orgenesis, une entreprise de bio-technologie qui cherche des solutions au COVID par des thérapies géniques (nous reviendrons sur ce sujet dans les prochains jours).

Mais elle ajoute qu’il est administrateur du petit cabinet de conseil Mediq IE, spécialisé sur le marché de la santé en Europe. Voilà qui ne manque pas d’intérêt.

Bref, voilà une belle (mais tardive) déclaration d’intérêts d’une mondialiste qui se montre étonnamment discrète sur son patrimoine personnel…

Le Courrier des Stratèges

Information interdite (vidéo 16:18)

Voici une vidéo que l’on ne risque pas de trouver sur Youtube et des sujets que les grands médias n’aborderont évidemment pas. Les interrogations sur le drame du séisme en Turquie ne feront sourire que ceux qui ne se sont jamais intéressés au programme HAARP de guerre climatique. Idem, lorsque l’on nous présente aujourd’hui de façon anodine des solutions climatiques par épandage depuis des avions : pendant combien d’années a-t-on insulté, raillé, tenté de ridiculiser les lanceurs d’alerte qui évoquaient les chemtrails. A ce sujet, une pensée toute particulière pour la regrettée Claire Séverac.

Le plus frustrant pour tous ces sujets c’est que l’information est disponible relativement facilement sur internet. Il suffit d’un minimum de curiosité et de chercher un peu tant que les censeurs n’ont pas encore totalement verrouillé internet… En tout cas, une vidéo époustouflante à relayer le plus largement possible et à sauvegarder…(NDLA)

Cliquer sur l’image pour visionner la vidéo

Sècheresse: le journal Libération réalise la Une la plus idiote de l’histoire du journalisme et invente le concept de pluie sèche

Les données scientifiques indiquent que la situation est redevenue normale avec une évolution vers un printemps froid et pluvieux

N’hésitez pas à vous créer un compte gratuit, vous aurez accès à toutes les nappes et rivières , chaque station https://info-secheresse.fr/groundwaterBody/indicator/groundwater#main

https://pgibertie.files.wordpress.com/2023/05/image-32.png

marco nius

@NiusMarco

 

Et la pluviométrie qui est dans le sud toujours très irrégulière . Les recharges jusqu’en Juillet ne sont pas rares https://pic.twitter.com/yLXAvcyhethttps://pic.twitter.com/yLXAvcyhet

les villes s’étendent, ça bétonne, mais les canalisations ne sont pas agrandies, et tout ça devient sous-dimensionné. Du coup il pleut et paf, inondations(canalisations trop petites)! Et hop, c’est le changement climatiiiique! Le sol bétonné ou goudronné souvent avec peu ou pas d’arbre retient aussi mieux la chaleur.

On déplace le lieu de mesure des températures en plein au milieu du sol bétonné et …..elles grimpent

N’oubliez jamais : rétrospective sur les mensonges médiatiques concernant le Covid

Pour éviter que nous ne prenions trop nos aises et que nous n’oubliions qu’il y a seulement deux ans, le monde occidental était au bord de la tyrannie médicale perpétuelle, il est important de revenir sur la campagne de désinformation massive des médias concernant l’efficacité (ou le manque d’efficacité) des obligations pandémiques et des vaccins à ARNm. Il y a seulement deux ans, le public a été bombardé par l’attaque de propagande mondiale la plus agressive de l’histoire moderne. Cette campagne était le fruit d’un effort conjoint des gouvernements nationaux, des institutions mondiales et des entreprises.

N’oubliez pas que toute cette hystérie a été générée par un virus dont le taux médian officiel de mortalité par infection n’est que de 0,23 %. En effet, tous les propos alarmistes présentés dans la vidéo ci-dessous ont été tenus en réaction à une « pandémie » à laquelle 99,8 % de la population survivrait facilement, et ce taux de mortalité n’a été connu que quelques mois après le début de la propagation. N’oubliez pas non plus que la quasi-totalité des affirmations des médias concernant le covid présentées ci-dessous se sont révélées fausses. Dans de nombreux cas, les médias savaient que les preuves scientifiques allaient à l’encontre de leur discours, mais ils l’ont quand même défendu.

Appréciez ce retour en arrière sur l’alarmisme des médias d’entreprise à l’égard du covid, et n’oubliez jamais…

Aube digitale

L’épouvante du contrôle social du score carbone se met en place

Nicolas Bonnal :

L’épouvante du contrôle social (ne pas oublier que le fric deviendra le MEILLEUR contrôle social…) et du score carbone se met en place : on verra si la masse se soumettra benoîtement et nûment – ou si elle ignorera incroyablement cette monstruosité juridique abracadabrante avant de se rendre gentiment aux abattoirs. Télécharger ici gratuitement notre livre sur Coronavirus et servitude volontaire. La soumission démente du froncé de souche à couche en fin de course ethnique et historique risque de décevoir (autant que le comportement de ce pape) devrait faciliter grandement les projets les plus démoniaques de Davos et des élites républicaines françaises. Les oppositions contrôlées et autocontrôlées toujours aussi fascinantes et démentielles. De toute manière le système est allé trop loin pour reculer dans sa guerre à mort contre le troupeau zombi et les (rares) survivants : il imposera la bombe ou les abattoirs.

Nicolas Bonnal

La justice américaine révèle comment les autorités ont acheté le soutien de l’association des gynécologues obstétriciens pour injecter les femmes enceintes

Le Département américain de la santé et des services sociaux (HHS) a mené une campagne marketing digne du lancement d’une lessive pour promouvoir des produits expérimentaux , mieux elle a acheté les décideurs. C’est ce que révèlent les documents exigés par la justice américaine dans le cadre de la loi sur l’accès à l’information (FOIA)

Le 1er avril 2021, le HHS a officiellement annoncé le lancement d’une propagande des « vaccins » COVID-19 appelée COVID-19 Community Corps – une vaste entreprise de marketing .

 Dans le cadre du COVID-19 Community Corps, le HHS a accordé des milliards de dollars fédéraux pour cibler ce que le HHS appelait des « dirigeants communautaires de confiance »

  » La recherche montre que, lorsqu’ils prennent la décision de se faire vacciner, les gens veulent entendre des personnes en qui ils ont confiance , tels que les professionnels de la santé, leur propre famille et leurs amis,

Avec de nombreuses autres organisations médicales à but non lucratif influentes, l’ACOG a participé à la campagne en tant que membre fondateur de COVID-19 Community Corps 9 – recevant finalement des millions de dollars en subventions HHS / CDC 10 et approuvant plus tard imprudemment la vaccination COVID-19 pendant la grossesse, même si le clinique les essais n’ont pas inclus les femmes enceintes.

Le Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG). Fondée en 1951, l’ACOG se présente comme la « première organisation de membres professionnels pour les obstétriciens et les gynécologues » et est la principale organisation représentant les médecins et les spécialistes en soins obstétricaux. L’ACOG est implantée sur deux continents – elle compte plus de 60 000 membres et est composée de 12 districts géographiques composés de 98 sections couvrant l’Amérique du Nord, du Sud et centrale.

« Les études de marché ont eu un impact sur chaque élément de la campagne depuis le début – de la stratégie globale à la publicité payante précoce, aux publications sur les réseaux sociaux et à d’autres stratégies de communication de masse. Le besoin d’ interactions interpersonnelles avec les médecins, les ministres, la famille et les membres de la communauté était clair dès l’étude de marché initiale menée à l’automne 2020.

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« Les Britanniques meurent par dizaines de milliers – et nous n’avons aucune idée de la raison »

Entre mai et décembre 2022, des dizaines de milliers de Britanniques sont décédés en plus que d’habitude, en excluant le covid comme cause du décès, ce qui soulève de sérieuses questions quant aux raisons de ces décès.

Des dizaines de milliers de Britanniques meurent plus que prévu et les experts ne savent pas exactement pourquoi.

De mai à décembre de l’année dernière, il y a eu 32 441 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, à l’exclusion des décès dus au Covid.

La surmortalité est définie comme le nombre de personnes décédées au-delà de la moyenne quinquennale – calculée en excluant l’année 2020 en raison de l’augmentation du nombre de décès due au Covid cette année-là.

Cela signifie que plus de 32 000 Britanniques auraient dû être en vie, mais sont décédés selon les chiffres de l’Office des statistiques nationales (ONS) au cours de cette période.

Ces chiffres choquants ont soulevé un certain nombre de questions importantes sur ce qui arrive aux populations du pays, sur la manière dont elles évoluent et sur les raisons pour lesquelles tant de personnes meurent.

Depuis la pandémie de grippe aviaire, la surmortalité fluctue fortement d’un mois à l’autre, tombant bien en dessous de la moyenne quinquennale ou la dépassant largement.

Les pics de surmortalité peuvent être attribués à un certain nombre de causes, mais on ne sait pas exactement ce qui provoque ces pics ou ces baisses.

De même, au début de l’année 2022, la surmortalité est tombée bien en dessous des niveaux moyens, et un groupe d’experts a émis l’hypothèse, dans le Mirror, qu’un effet de « déplacement de la mortalité » pourrait expliquer pourquoi tant de décès sont regroupés en l’espace de plusieurs mois, étant donné qu’ils sont transmis depuis les mois précédents.

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Covid : ils ont choisi la mort

J’apprécie toujours autant les articles du docteur Gérard Maudrux mais déplore son refus d’accepter des vérités aujourd’hui établies sur les origines de la crise sanitaire, ses causes, ses responsables et ses profiteurs. Surtout lorsqu’il écrit  » je n’ai toujours pas compris, et je pense que je ne comprendrai jamais : on a décidé de laisser mourir les patients atteints de Covid, on a empêché de les traiter »

Tout a cependant été dit, écrit, prouvé et nous avons d’ailleurs reproduit sur ce blog plus de 3 000 articles, vidéos, interviews au cours des trois dernières années. Et puis, il suffit de lire le livre d’Alexandra Henrion-Caude, ceux des professeurs Perronne et Raoult, de Philippe Aimar et quelques autres essentiels. On peut aussi relire l’extraordinaire interview du professeur Perronne donnée en début d’année 2022. (NDLA)

Dr Gérard Maudrux :

Médecin, après 3 ans je n’ai toujours pas compris, et je pense que je ne comprendrai jamais : on a décidé de laisser mourir les patients atteints de covid, on a empêché de les traiter. Un médecin ne laisse pas mourir un patient sans traitement. Un politique ne doit pas ordonner à un médecin de ne pas soigner et laisser mourir des patients sans traitement. L’Ordre ne doit pas enterrer le serment d’Hippocrate et ne doit pas poursuivre ceux qui restent fidèles à ce serment. On n’exige pas des médecins qu’ils guérissent, mais au minimum qu’ils essaient, qu’ils soignent. Personnellement ma devise a toujours été celle d’Ambroise Paré, chirurgien comme moi : « Guérir parfois, soulager souvent, soigner toujours ».

Oubliés les serments, ignoré Hippocrate, méprisé Ambroise Paré. Il y a eu une décision claire avec deux messages. Un pour les médecins : « ne traitez pas, sinon uniquement avec du Doliprane ». Le second pour les patients, au cas où certains médecins feraient leur travail : « si vous êtes malades, n’allez pas voir votre médecin, cela ne servira à rien. Allez en pharmacie, on vous donnera du Doliprane, et si vous allez vraiment mal, appelez directement le Samu ».

On n’a rien essayé, on n’a pas laissé essayer, on n’a pas cherché, on a empêché de chercher. On a décidé de laisser les patients sans traitement, jusqu’à ce qu’ils soient à la porte de la mort. On a encombré les hôpitaux, sans essayer de l’éviter.

Notre système de soins, qui a méprisé la prévention pendant des décennies pour ne s’occuper que des soins, a ici, sur ordre politique, interdit de traiter la maladie, pour ne s’occuper que de cette seule prévention, abandonnant les patients déjà atteints. On a tout misé sur le vaccin, OK. Mais un vaccin c’est fait pour empêcher d’attraper la maladie, cela n’est pas et n’a jamais été un traitement une fois la maladie attrapée (une très rare exception : la rage) ! Traitement du covid et vaccin anti-covid sont deux choses différentes, qui n’ont pas du tout la même action, l’un traite, l’autre empêche la maladie, ils sont même complémentaires. Dans toutes les autres maladies infectieuses, sans exception, on vaccine le cas échéant, et on traite toujours, sans aucune incompatibilité entre les deux. Vacciner, envisager de vacciner, n’empêche pas de traiter !

ET POURTANT

Et pourtant des traitements, il y en avait, mais on a tout fait pour que cela ne se sache pas. Il y en a plusieurs, avec plusieurs centaines de publications dans le monde qui sont toutes cohérentes, convergeant vers le même résultat, quel que soit le produit : division par 4 des décès. Tous les médecins, tous les pays qui les ont utilisés ont vu passer cette épidémie comme une mauvaise grippe.

En début d’épidémie, avant qu’elle ne soit officielle, le virus circulait depuis septembre ou octobre 2019. Tous les patients étaient traités avec succès par certains antibiotiques comme l’azithromycine, pensant à des pneumopathies atypiques, qui se faisaient de plus en plus nombreuses. Une fois un nom sur cette épidémie de pneumopathies, ces médecins qui avaient déjà traité des milliers de patients avec moins de 1% d’hospitalisations, y compris chez les très âgés ont voulu communiquer leurs résultats. Ils ont tout de suite été convoqués par l’Ordre des médecins qui leur a demandé de se taire, sous peine de suspension.  Une étudiante en médecine du CHU de Marseille a colligé plus de 5 000 cas pour une thèse, avec 10 fois moins d’hospitalisations et de décès que sous Doliprane. Je lui avais envoyé nombre de confrères. On l’a dissuadée de poursuivre, et elle a changé de sujet de thèse.

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Les ubuesques remontrances de l’ONU à la France

Par Philippe Oswald – Publié le 08 mai 2023 – Photo : Le ministre chinois des Affaires étrangères Qin Gang prononçant son discours par message vidéo lors de la 52e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, à Genève, le 27 février 2023 (Fabrice COFFRINI / AFP)

Lors de sa 52e session (Genève, 27 février-4 mars), le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a épinglé la France pour des discriminations raciales et religieuses, et des violences policières… L’affaire est piquante : parmi les pays membres du Conseil onusien des droits de l’homme figure la Chine, la Russie, Cuba, l’Érythrée, la Malaisie, le Honduras, l’Ouzbékistan, le Qatar, le Soudan, l’Iran, la Malaisie, le Venezuela, la Tunisie, ou encore l’Afrique du Sud, pays dont les régimes n’ont rien d’accommodant, et dont les polices n’ont pas la réputation d’être d’une grande douceur envers des opposants ou d’improbables manifestants. Faut-il croire ses oreilles quand on entend le représentant de la Chine, pays qui, entre autres violences, enferme dans des camps et stérilise les Ouïghours, pointer « le racisme et la xénophobie » qui régnerait en France, et presser notre pays de renoncer aux « mesures qui violent les droits des migrants » ? Pour sa part, l’Afrique du Sud a appelé les autorités françaises « à prendre des mesures pour garantir des enquêtes impartiales par des organes extérieurs à la police dans tous les cas d’incidents racistes impliquant des policiers »… Quant à la Malaisie (où l’islam est religion d’État), elle a demandé que les responsables des forces de l’ordre « soient punis », après avoir sommé la France de modifier « rapidement » la loi interdisant aux femmes de se couvrir le visage dans les espaces publics.

Le représentant de l’Azerbaïdjan a carrément accusé la France d’islamophobie : « Quelles mesures les autorités françaises vont-elles prendre pour lutter contre les cas persistants et croissants d’actes racistes, xénophobes et antimusulmans dans tout le pays ? De nombreux rapports font état de fermetures massives d’organisations et d’entreprises appartenant à des musulmans (y compris des écoles et des mosquées). L’État français engage-t-il une enquête pour connaître les circonstances dans lesquelles se sont déroulées ces pratiques islamophobes ? Le gouvernement envisage-t-il de modifier et d’amender la loi discriminatoire sur l’application des principes républicains, qui suscite de vives inquiétudes au sein de la communauté musulmane ? ».

L’accusation ne manque pas de sel de la part d’une dictature qui traque ses opposants partout dans le monde et multiplie les agressions contre l’Arménie, au mépris du droit international. Allié de la Turquie qui persiste à ne pas reconnaître le génocide contre les Arméniens, l’Azerbaïdjan partage avec son « grand frère » turc un activisme agressif contre les chrétiens. Cerise sur le gâteau ou comble de cynisme, la représentation de l’Azerbaïdjan à l’ONU a ajouté cette interpellation qu’on pourrait juger pertinente si elle n’émanait pas d’un pays classé 126e dans l’indice de corruption de Transparency International : « Que fait le gouvernement [français] pour lutter efficacement contre la corruption, notamment en assurant la transparence sur les contacts des hauts responsables français avec les lobbyistes ? ».

« Ce n’est pas (…) la première fois que des pays assez peu exemplaires en matière de droits humains se retrouvent intégrés à des organismes censés évaluer les démocraties », rappelle Le Point (en lien ci-dessous). L’hebdomadaire donne pour exemple l’élection de l’Arabie saoudite à la Commission de la condition de la femme des Nations unies (CSW), un organisme « exclusivement consacré à la promotion de l’égalité des sexes et à l’autonomisation des femmes »… Néanmoins, souligne Le Point, ces critiques « nous disent combien nos positions sont souvent incomprises dans le monde. », y compris aux États-Unis dont la représentante à l’ONU a déclaré le 1er mai : « Nous recommandons à la France d’intensifier ses efforts pour lutter contre les crimes et les menaces de violence motivés par la haine religieuse tels que l’antisémitisme et la haine antimusulmane. » Mais est-il sûr que la fameuse « laïcité » républicaine soit très claire dans l’esprit d’une majorité de Français ? En revanche, « l’islamophobie », terme sans aucune consistance juridique, est un slogan agité efficacement par les pays islamiques : le 15 mars dernier, l’ONU a célébré pour la première fois la Journée internationale de la lutte contre « l’islamophobie » adoptée l’an dernier par les 193 membres de l’Assemblée générale des Nations unies à l’initiative… du Pakistan.

LSDJ

Édifiant : le dossier Charles III (vidéo 19:59)

« Comment est-il possible qu’un sympathisant de la pédophilie et un tueur à gages potentiel soit couronné roi et qu’il n’y ait pas de tollé ? »

par Kla.TV

Le 6 mai 2023, Charles III sera couronné roi du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord et de 14 autres États souverains. Il devient également le chef du Commonwealth des Nations, qui compte 56 États, et le chef temporel de l’Église anglicane d’Angleterre. Charles III a déjà 74 ans. Dans l’histoire de la Grande-Bretagne, aucun roi n’était plus âgé au moment de son couronnement. D’innombrables chaînes de télévision du monde entier couvrent cette cérémonie. Alors que les caméras des médias de masse sont braquées sur la splendeur et le faste de cet événement, ce documentaire veut ouvrir un dossier en cinq parties qui révèle un tout autre visage du roi Charles III, largement passé sous silence par les médias de masse. Ce documentaire met en lumière des arrière-plans bouleversants :

I. Le roi Charles III et ses possessions

1. Propriété foncière

2. Les duchés et les domaines

3. Les fonds marins britanniques

4. Le Crown Estate

5. Les pierres précieuses

II. Le roi Charles III et les multiples ramifications de la famille royale

1. Les interconnexions de Charles III avec le Forum économique mondial

2. Les interconnexions avec la franc-maçonnerie

III. Le roi Charles III et ses scandales financiers

IV. Le roi Charles III et la mort mystérieuse de Diana

1. Les prémonitions de la princesse Diana

2. Graves incohérences sur le lieu de l’accident

V. Le roi Charles III et les relations de la famille royale avec des pédophiles

1. L’amitié de Charles avec le pire prédateur sexuel britannique

2. Charles III a soutenu Peter Ball, l’évêque pédophile !

3. La famille royale et le réseau pédophile de Jeffrey Epstein

Lire l’intégralité sur Kla.TV

(Merci à Kodiak)

Rappels :

« One World, One Religion » : Le couronnement de Charles III sera oecuménique et syncrétiste

La reine Elizabeth II était à la tête du Comité des 300

Les racines nazies de la famille royale britannique

Elizabeth II et le réseau pédocriminel de l’élite britannique (Michael Hoffman)

Décès d’Elizabeth II : un obstacle au RESET est levé. Refondation de la France

L’arnaque climatique n’est pas morte : elle pourrait ajouter ses propres confinements à ceux du Covid-19 !

PLANdémie – Les satanistes se paient notre tête

Addendum :

Les Sud-Africains demandent au Royaume-Uni de restituer les diamants sertis dans les joyaux de la couronne

 

Olivier Demeunelaere

Suppression de la taxe d’habitation : le piège pervers macronien se referme

Les conseils municipaux avaient jusqu’au 15 avril pour voter les taux d’imposition de fiscalité directe (taxes foncières sur les propriétés bâties et non bâties, taxe d’habitation pour les résidences secondaires). Le 15 avril était aussi la date limite pour voter le budget communal de l’année 2023. Au moment où nous écrivons ces lignes, les services des préfectures effectuent les contrôles de légalité des délibérations prises par les conseils municipaux. Ensuite, les services des finances publiques mettront « en musique » ces décisions qui auront un impact direct sur l’avis d’imposition des contribuables propriétaires.

Des propriétaires qui, désormais, sont les seuls contribuables directs de la commune. En ayant supprimé la taxe d’habitation, Emmanuel Macron a réussi ce coup de génie de fabriquer deux catégories de citoyens dans notre pays : ceux qui contribuent et ceux qui ne contribuent pas directement au fonctionnement et à l’investissement de la commune. Prenons bien conscience que cette annonce phare de la campagne de 2017 portait en elle la marque essentielle de ce qu’aura été l’action d’Emmanuel Macron à la tête du pays : diviser. On ne fera pas, ici, la liste de ces divisions, pour ne pas dire ces fractures, mais celle qui découle de la suppression de la taxe d’habitation est particulièrement perverse.

En effet, qui aujourd’hui oserait revenir sur cette mesure ? Mesure qui a sapé les fondements du pacte communal qui consistait à ce que chaque citoyen contribue à la hauteur de ses moyens aux besoins financiers du lieu où il habite ? Pourtant, on commence à voir les effets très concrets de cette mesure, notamment dans un contexte inflationniste qui frappe collectivités comme ménages. Passons sur le jeu de taquin qui a consisté à compenser en partie cette perte de revenus pour les communes en leur transférant la part d’impôt foncier qui revenait naguère au département et à mettre en place un mécanisme de compensation complexe et opaque qui accroît de fait la mise sous tutelle des communes par l’État.

Cette année 2023 se révèle ainsi comme celle de la fermeture du piège ouvert par Macron en 2017, puisque plus aucun ménage ne paye la taxe d’habitation, à l’exception des résidents secondaires, ce qui, en soi, est une parfaite ineptie, voire injustice, pour ces derniers puisque, n’habitant pas à plein temps la commune, ils utilisent beaucoup moins les services communaux. On est chez les fous ? Non, au pays de Macron. Et ce piège est d’autant plus diabolique que la loi de finances pour 2023, votée à la fin 2022 à grand renfort de 49.3, a acté une augmentation des bases foncières de 7,1 %. Une augmentation inédite. Le rapporteur Renaissance de la loi avait eu beau jeu de faire remarquer que les municipalités pouvaient atténuer cette hausse en baissant le taux d’imposition qui est à leur main. Ponce Pilate, sors de ce corps ! Piège pervers et d’autant plus cruel que, par ailleurs, la dotation générale de fonctionnement (DGF) accordée aux communes par l’État – dotation qui n’est pas une subvention mais la juste rétribution des services publics rendus par les communes -, elle, n’a pas suivi la courbe de l’inflation, qu’en 2022, les communes ont dû assumer avec leurs seules ressources la décision du gouvernement d’augmenter de 3,5 % le point d’indice de leurs fonctionnaires. En clair, le gouvernement, en augmentant les bases foncières et en n’augmentant pas la DGF, fait porter le poids de l’inflation sur les communes par les seuls propriétaires. Le propriétaire foncier qui, bien souvent, n’a que sa maison pour s’assurer une retraite, sinon confortable, tout du moins décente.

Si, par ailleurs, on ajoute à cela, la pression de l’État sur les communes pour qu’elles construisent toujours plus de logements sociaux, que ces logements sociaux sont exemptés de taxe foncière, on voit qu’une paupérisation des communes se dessine inexorablement : plus d’habitants mais moins de ressources fiscales directes. Sauf à toujours taxer plus ces cochons de propriétaires qui paieront bien pour les autres. Tout cela au mépris du principe de consentement à l’impôt, mais aussi de la cohésion sociale. Emmanuel Macron aura donc réussi l’exploit de fracturer la nation jusque dans la commune, cœur battant de notre démocratie directe. Bravo ! Et puis, lorsque les communes les plus fragiles n’en pourront mais, on les incitera fortement à fusionner, à se regrouper, si possible avec la commune chef-lieu de l’agglomération. Et ainsi, on poursuivra le processus consistant à éloigner toujours plus le citoyen des lieux de décision. On a d’ailleurs un modèle chimiquement pur : ça s’appelle l’Union européenne. Tuez les propriétaires et les communes, alors, la France sera mûre pour devenir une vaste HLM.

Boulevard Voltaire

Si même Elisabeth Borne et France Info le disent : après la dégradation de la note de la France par l’agence Fitch, un « scénario à la grecque » est possible…

Voilà, nous y arrivons. Ceux qui dissimulaient n’y arrivent plus, ceux qui mentaient sont rattrapés par les faits. On évoque maintenant tranquillement, comme si rien n’était, un « scénario à la grecque » pour la France, c’est-à-dire une apocalypse sociale, économique et financière suivi d’une grande et irréversible pauvreté sur fond de dictature… (NDLA)

Évidemment, l’oligarchie financière fait porter le chapeau à Macron et aux Français dans la rue, qui auraient mis le pays dans une « impasse politique ». Les prédateurs ne diront jamais qu’ils ont décidé de faire de la démolition de la France (merci le couillonavirus) un exemple dans la marche vers le Nouvel ordre mondial… tout en se gavant avec l’épargne des Français. Tout juste le pisse-copie de France Info reconnaît-il que l’on peut « avoir des opinions divergentes sur le système financier »

Non, sans blague ? On a le droit de dénoncer le système d’étranglement et de dépeçage des États-nations par la dette ? L’odieux chantage à la faillite et au chaos qui doit nous amener au Great Reset mondialiste ? OD

ÉDITO. Derrière la note AA− décernée par l’agence Fitch à la France, la crainte d’être lâché par les marchés

L’exécutif estime qu’un « scénario à la grecque » est possible, après que l’agence de notation Fitch a abaissé la note de la France d’un cran, de AA à AA−. En jeu, les 3 000 milliards de dettes que nous avons à financer.

Vendredi 28 avril, l’agence de notation Fitch a annoncé la baisse de la note de la France. Désormais, la dette française est notée AA−, une nouvelle économique et politique peu réjouissante. En effet, cela sonne comme un avertissement de la part des marchés financiers envers l’exécutif. Le communiqué publié vendredi est clair : en plus des « mouvements sociaux (parfois violents) » évoqués par Fitch, l’agence pointe du doigt une « impasse politique » qui pèsera sur la capacité de la France à réduire son déficit et sa dette.

Face à cela, le gouvernement a tenté de rassurer les marchés. Bruno Le Maire a affirmé sa volonté de « faire passer des réformes structurantes ». Cependant, Fitch souligne que le gouvernement n’a pas réussi à faire accepter ces réformes et que le contexte actuel nuit à notre crédibilité pour mener de futures réformes. Cette mention de « l’impasse politique » est presque plus grave que la note elle-même. Cela met en lumière la réalité : la Macronie ne dispose plus d’une grande marge de manœuvre, même les marchés le savent.

La crainte d’un « scénario à la grecque »

Il ne faut pas prendre à la légère les 3 000 milliards de dettes que nous avons à financer. Même si l’on peut avoir des opinions divergentes sur le système financier, personne ne devrait prendre ces chiffres ni cet avertissement à la légère.

Quelles conséquences pour la France ? Pas de panique pour l’instant. Les investisseurs continuent de rechercher la dette française. Cela fait dix ans que la France a perdu son prestigieux triple A, mais la finance et la politique sont parfois une question de dynamique. Si demain, nos créanciers doutent, ils demanderont plus de garanties. La crainte d’être lâché par les marchés est réelle. La Première ministre, Élisabeth Borne nous avouait récemment : « Un scénario à la grecque est possible. Si on dit qu’on se fiche des réformes, ça peut nous arriver. »

La hausse des taux a déjà commencé, et l’exécutif a des sueurs froides. Mais ce serait la faute des marchés ? Facile à dire. La réalité, c’est que pendant le Covid, le « quoi qu’il en coûte » a sauvé notre tissu productif, à grands coups de milliards. C’était coûteux, mais nécessaire. Sauf que l’exécutif a voulu faire croire que cette dette se rembourserait par le seul mécanisme de la croissance. A ne pas vouloir parler des chiffres, à ne pas sensibiliser les Français aux effets de l’endettement, à une nécessaire rigueur, c’est comme pour les retraites, on prend le risque de perdre le contrôle.

En janvier 2019, Emmanuel Macron s’était invité à un « grand débat » à Bourg-de-Péage dans la Drôme. Ce soir-là, au milieu de citoyens, le président avait lancé : « La vraie réforme, elle va avec la contrainte. Comment on finance ? Ce n’est pas open-bar. Le bar, c’est le nôtre ». À l’époque, tout le monde avait ri. Avec le recul, on peut se demander si l’ivresse des « gilets jaunes » et du « quoi qu’il en coûte » n’a pas fait oublier au gouvernement qu’il fallait rappeler aux Français la recette du cocktail et que les videurs du bar sont les marchés financiers.

France Info, le 1er mai 2023

Relevé sur Olivier Demeunelaere

Eau française contre pétrole (vidéo 1:31:00)

Corinne, courageuse et lucide lanceuse d’alerte évoque cet inimaginable projet de contrat qui consisterait pour la France à échanger 4 milliards de mètres cubes d’eau potable contre du pétrole. C’est l’équivalent de la totalité de la consommation annuelle de la France… Et on nous parle de sécheresse ? Quelle farce !
Mais le plus intéressant de son intervention ce sont les conseils de résistance qu’elle préconise, la seule qui vaille et la seule qui puisse influer sur le cours des évènements. (NDLA)

Les crises cardiaques ont augmenté de 83 % – les implications alarmantes des fuites de données sur la santé en Nouvelle-Zélande

La publication de vendredi : « Te Whatu Ora cache des chiffres alarmants – un tsunami de maladies » a soulevé de nombreuses questions. Qu’est-ce qui est exactement à blâmer pour l’augmentation écrasante des maladies dans plusieurs catégories ?

Récapitulatif :  Des fuites de données de la région de Wellington montrent que le nombre de crises cardiaques entraînant une hospitalisation a augmenté de 83 %. Hospitalisation pour myocardite en hausse d’un tiers (augmentation de 33%). Les fausses couches, les mortinaissances et les accidents vasculaires cérébraux ont tous augmenté d’un quart (augmentation de 25 %). Insuffisance rénale aiguë (IRA) en hausse de 40 %.

Il y a bien plus d’un million d’articles relatifs à Covid publiés à ce jour. Comparées les unes aux autres, nombre d’entre elles offrent  des conclusions contradictoires ou souffrent de limites méthodologiques . Par conséquent, il devient de plus en plus nécessaire de surveiller des données à jour. L’augmentation des admissions à l’hôpital dans de nombreuses catégories de maladies dans la région de Wellington aura plusieurs causes. La question est de savoir quelles sont les pondérations des facteurs de causalité potentiels ? Celles-ci ne peuvent être correctement évaluées que par l’analyse des données actuelles.

Le rapport Hatchard et d’autres réclament la publication de données pertinentes depuis près de deux ans maintenant. Les données manquantes incluent le statut vax au décès et à l’admission à l’hôpital par âge et catégorie de maladie. Sans cela, aucune évaluation adéquate de l’importance relative de l’infection à Covid et de la vaccination ne peut être faite. L’objectif principal de nombreux articles du rapport Hatchard est de demander la publication de ces données pour un examen indépendant.

Voici quelques-unes des questions d’approfondissement que nous avons reçues à la suite de notre résumé de la fuite de données et de nos réponses :

Question 1 :  Je crains que vos hypothèses concernant l’analyse des données ne soient pas scientifiquement fondées et vous indiquez que les vaccins COVID 19 sont LA raison pour laquelle les décès ont augmenté. Vous n’avez pas examiné un certain nombre d’autres raisons probables à cela (voir 2-5 ci-dessous pour des explications alternatives suggérées).

Réponse :  Cet  article  établit un lien entre les taux de mortalité élevés en Europe et la vaccination contre le Covid. Il calcule qu’une augmentation d’un point de pourcentage de la vaccination en 2021 était associée à une augmentation mensuelle de la mortalité en 2022 de 0,105 % (IC à 95 %, 0,075-0,134). Un très grand effet.

Question 2.  Long Covid est-il en faute ? Cet  article  indique que « le long COVID est une maladie souvent débilitante qui survient dans au moins 10 % des infections par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) ».

Réponse :  Certains commentateurs veulent blâmer l’infection antérieure de Covid et l’incidence ultérieure de Long Covid pour l’ensemble du problème. Il y a deux questions centrales ici. « Dans quelle mesure l’effet de Long Covid est-il différent de celui de l’après-grippe? » et ‘Long Covid lui-même a-t-il plusieurs causes?’ Un article norvégien explosif publié à la suite de l’article de Nature référencé ci-dessus n’a trouvé  aucune association significative  entre une infection antérieure par le covid et un long covid chez les adolescents. Cet article de sous-pile  contient une discussion et un lien vers le document lui-même. Cette découverte suggère que de nombreux symptômes de Long Covid peuvent avoir plusieurs causes, y compris l’effet des verrouillages, la vaccination Covid et les conditions de santé antérieures.

Question 3.  Retards pour aller voir un médecin, en particulier en raison des confinements. Selon le NZ Herald , cela signifie que certains cancers, par exemple, sont devenus beaucoup moins traitables en conséquence.

Réponse :  Les retards à consulter un médecin pendant le confinement auront certainement eu un effet sérieux sur les résultats du cancer, mais pas sur les taux d’incidence du cancer à long terme. Cet effet devrait disparaître maintenant, mais ce n’est pas le cas. La taille de l’effet observé est trop importante pour être expliquée par des visites chez le médecin et des scanners retardés, voir ma discussion  ici .

Question 4.  Les baby-boomers vieillissants seront surreprésentés pendant des années dans les taux de mortalité annuels, ils commencent à mourir comme c’est l’étape naturelle à la fin d’une longue vie, réf.  papier .

Réponse :  Le document sur les taux de mortalité cité est obsolète et statistiquement sans rapport avec les taux de mortalité très élevés que nous constatons actuellement, qui incluent de manière alarmante les cohortes en âge de travailler. Référez-vous au livre d’Edward Dowd   sur ce point.

Question 5.  Vous pourriez également inclure le fait que tout le système de santé est en panne, nous entendons cela tout le temps de la part des infirmières travaillant dans les hôpitaux. Cela aura des répercussions sur la santé de multiples façons, et je suis sûr que vous en conviendrez.

Réponse :  Je suis d’accord que le service de santé est en panne, mais pourquoi le fait-il ? Nous avons une situation de poule et d’œuf, les charges de travail ont considérablement augmenté, mais pourquoi l’ont-ils fait en premier lieu ? L’augmentation des taux de maladie est venue en premier. Rappelez-vous que nous avons été vaccinés contre Covid en Nouvelle-Zélande  avant  d’avoir Covid.

Question 6.  Je pensais que vous vérifiiez toujours vos données par les voies officielles. Comment pouvez-vous être sûr que ces chiffres divulgués sont fiables ?

Réponse :  Les détails contenus dans les informations divulguées sont remarquables. J’ai également reçu des informations indépendantes confirmant l’ampleur de l’augmentation des maladies de la part d’initiés de l’industrie de l’assurance. Une source d’un très grand assureur maladie rapporte que les demandes de remboursement de frais de santé sont passées de 4 à 500 par jour à plus de 700 par jour, soit une augmentation de plus de 50 %. Un autre initié de l’assurance rapporte que les réclamations pour les catégories de maladies rares ou inhabituelles augmentent de manière inexplicable. Pour le moment, je n’ai aucune raison de douter des données divulguées.

Question 7.  Existe-t-il d’autres données indiquant un lien de causalité entre la vaccination et les taux de maladie élevés ?

Réponse :  La troponine est un type de protéine présente dans les muscles de votre cœur. La troponine ne se trouve normalement pas dans le sang. Lorsque les muscles cardiaques sont endommagés, la troponine est envoyée dans la circulation sanguine. À mesure que les dommages cardiaques augmentent, de plus grandes quantités de troponine sont libérées dans le sang. Des données divulguées montrent que des tests de troponine effectués sur des hommes et des femmes peu de temps après la vaccination contre Covid dans la région de Wellington ont trouvé des niveaux élevés chez 4% des hommes et 1,4% des femmes. Il y avait d’autres niveaux préoccupants de marqueurs biologiques de la maladie signalés dans les données divulguées, notamment des marqueurs de cancer et de caillots sanguins.

Une augmentation de 83% des hospitalisations pour crises cardiaques devrait être une impossibilité statistique

Une augmentation de 83% des hospitalisations pour crises cardiaques devrait être une impossibilité statistique, mais il semble que cela se produise. Les événements cardiovasculaires ont un impact sur les résultats de longévité. Les maladies cardiovasculaires sont déjà la principale cause de décès en Nouvelle-Zélande, avec environ 10 000 décès par an. Je ne peux pas imaginer pourquoi nous ne lisons pas sur les augmentations dans les médias grand public. Cela doit avoir un impact sur les familles de toute la Nouvelle-Zélande. Je ne peux pas imaginer pourquoi le gouvernement et les autorités médicales ferment les yeux.

Il n’est pas scientifiquement défendable que Te Whatu Ora projette une façade de normalité

L’un des éléments les plus alarmants à tirer des données divulguées est le taux croissant de maladies d’année en année – il ne cesse de s’aggraver. Les autorités sont évidemment conscientes de cela, mais elles s’en tiennent obstinément à un  récit « rien à voir ici »  . Ils ne font pas non plus de recherche fondamentale pour évaluer si cela affecte de manière disproportionnée les vaccinés ou les non vaccinés.

Les Néo-Zélandais tombent malades et meurent en nombre record sans être conscients d’un éventuel lien avec la vaccination contre Covid. Te Whatu Ora détient des données pointant dans cette direction, mais ils regardent ailleurs et se taisent. Pire encore, ils encouragent les gens à obtenir plus de doses de vaccin. Dissimuler des données à la vue et aux commentaires du public est imprudent, inexplicable et ne tient absolument pas compte de la santé et de la sécurité publiques.

Hatchard Report.com

ARTE évoque les terribles conséquences de la « vaccination » anti-Covid. Enfin… (vidéo 31:48)

On passera sur les minimisations du genre « il fait partie de l’infime partie de la population » souffrant des conséquences de la vaccination.
Contentons-nous de prendre acte que, petit à petit, le coin du voile se lève. Malgré l’omerta entretenue sur le sujet par le corps médical – le sujet est clairement abordé dans ce reportage -, il ne sera pas possible de dissimuler éternellement le désastre sanitaire en cours. A faire largement circuler sur les réseaux sociaux. (NDLA)

Complexe industriel de la censure : petit guide éclairé de lutte contre la vraie désinformation

Censorship
« The censorship industrial complex », le complexe industriel de la censure. Capture d’écran par photographie

DÉFENSE DE L’INFORMATION – Andrew Lowenthal est essayiste, chercheur et producteur indépendant spécialisé dans le thème de « l’autoritarisme numérique ». Il est aussi co-fondateur et directeur d’EngageMedia, une organisation non gouvernementale australienne à but non lucratif créée en 2005 qui milite pour les droits de l’Homme, la sauvegarde de l’environnement mais aussi la défense des droits numériques. Depuis 2006, l’ONG propose des contenus vidéos explorant ces thématiques.

Lowenthal, qui est passé par Harvard et le Massachusetts Institute of Technology (MIT), a observé ces dernières années une singulière évolution du monde de l’information, notamment de ses acteurs issus de « la société civile », dont les milieux universitaires. Là où, ironise Lowenthal, on ne devrait pas trouver “des militaires” et s’attendre au contraire à une production de l’information indépendante, ou liée à la recherche, un glissement s’est opéré.

Des professeurs, des membres d’ONG, et évidemment des journalistes, au lieu d’assurer leur rôle social traditionnel de simples médiateurs de l’info ou de lanceurs d’alerte, entretiennent des rapports avec des administrations gouvernementales, des agences du renseignement, mais aussi avec l’armée. Au lieu de mener l’enquête sans conflits d’intérêts et de façon distanciée, au service de la chose publique, nombre de ces acteurs se sont recyclés dans ce que Lowenthal nomme la “lutte contre la désinformation”. 

Un schéma qui est bien connu des lecteurs de France-Soir avec le compte rendu des Twitter Files, dont les épisodes ont été publiés dans nos colonnes depuis décembre 2022. Ces documents internes de l’oiseau bleu ont été dévoilés par Elon Musk. Ils ont permis à des journalistes d’investigation de mettre à jour plusieurs scandales d’ampleur. Ceux-ci montrent à quel point sont menacées à la fois la libre information et la liberté d’expression, du fait d’une emprise grandissante du pouvoir politique : c’est en effet au prétexte de cette lutte contre la désinformation que ce dernier exerce la censure.

Ce mécanisme n’est pas uniquement à l’œuvre outre-Atlantique. Les évolutions du règlement européen des plateformes numériques (le Digital Services Act) posent les mêmes questions de fond : jusqu’où le politique peut-il interférer avec la sphère de l’information ? In fine, peut-on alors parler d’une sorte de “mécanisme industriel de la censure” en vue de contrôler cette dernière ?

Un nouvel épisode des Twitter Files produit par Lowenthal lui-même aborde ce sujet et sera prochainement évoqué par France-Soir. 

En attendant, voici un texte d’exception de l’essayiste qui rend compte de ses observations précitées et qui expose une nouvelle forme de manipulation de l’information. Celle-ci repose essentiellement sur ce mélange des genres aussi surprenant que grave entre des acteurs qui ne devraient jamais collaborer ensemble du fait d’évidentes questions de déontologie : universitaires, membres d’ONG, journalistes avec politiques, industriels et militaires.

L’article qui suit a été publié originellement dans Racket.news, le 25 avril 2023 et traduit par France-Soir avec l’accord de l’éditeur et de l’auteur, Andrew Lowenthal (voir son Substack).

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Scandale à Bruxelles : l’Italie se révolte et exige que les labos paient les indemnités des effets secondaires du vaccin Covid-19

Une information dont les médias ne veulent surtout pas parler.

Dans un discours prononcé devant ses pairs européens, le ministre italien de la Santé, Orazio Schillaci, a demandé à l’Union Européenne de renégocier les contrats de vaccins signés avec les laboratoires pharmaceutiques et a exigé un changement des clauses afin que les indemnités, les compensations des effets secondaires et les frais de justice ne soient plus à la charge des États, mais plutôt des fabricants de vaccins.

Un vent de révolte est-il en train de voir le jour au sein de l’Union Européenne? Allez savoir! En tout cas, en pleine pandémie à Coronavirus, le gouvernement italien, dirigé par Giorgio Meloni, demande à l’UE de renégocier les contrats de vaccins signés avec les laboratoires pharmaceutiques.

C’est l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue, en décembre dernier, de plusieurs sources italiennes fiables, dont l’agence de presse italienne AGI. D’après la source, la proposition de renégocier les contrats a été formulée par Orazio Schillaci, ministre italien de la Santé, lors de son intervention en marge d’une session organisée par le Conseil européen de la Santé.

Face à son auditoire, le ministre italien n’a pas mâché ses mots. « J’estime nécessaire de renégocier les contrats avec les laboratoires pharmaceutiques, les contrats non encore exécutés ou seulement partiellement exécutés, en prévoyant la possibilité de réduire les achats envisagés en fonction du besoin réel des États ‘en doses de vaccins anti-Covid’ et, en tout état de cause , un report des paiements et des doses acquis sur plusieurs années, au moins quatre, adaptant ces dernières à l’évolution épidémiologique du virus », a-t-il déclaré.

Et d’ajouter : « il est indispensable que la Commission européenne, lors de la renégociation des contrats d’achat, revoie la clause des APP ou contrats d’achat anticipés, qui font payer aux États membres la compensation et/ou l’indemnité due pour les dommages causés par les vaccins ainsi que les frais de justice encourus par les fabricants de produits pharmaceutiques dans les procédures individuelles puisqu’il n’est pas raisonnable qu’ils pèsent sur les États membres, en particulier après l’autorisation de mise sur le marché ordinaire des différents vaccins, comme l’a également relevé la Cour des comptes européenne ».

Le Courrier du soir

Le « vaccin » anti- Covid tue 600 000 Américains par an, alerte un analyste d’assurance

Après avoir analysé les données gouvernementales du Royaume-Uni, Josh Stirling, un des meilleurs analystes d’assurance du Royaume-Uni avertit que le nombre de décès lié aux injections Covid aux Etats-Unis pourrait aller jusqu’à 600 000 par an. Les effets secondaires des vaccins contre le Covid-19 deviennent de plus en plus difficiles à dissimuler. Depuis le début de la vaccination de masse, dans nos colonnes, nous avons toujours alerté sur les effets indésirables et inquiétants, voire potentiellement mortels de ces vaccins. Ces injections contribuent à la détérioration du système immunitaire des personnes injectées.

The One Chart That Tells the Entire Story’: Analysis Shows 26% Worse Mortality Among the Vaccinated And “the people who are under the age of 50 who took the vaccine now have a 49% higher mortality rate,” stated top insurance analyst Josh Stirling.

« And if you were to take… pic.twitter.com/7O4kR8Z2Xa

— The Vigilant Fox 🦊 (@VigilantFox) April 7, 2023

 

De nouveau, nous rapportons les propos d’un assureur sur les taux de mortalité lié aux injections contre Covid. En janvier 2022, les propos de Scott Davison, PDG d’une compagnie d’assurance américaine basée à Indianapolis, faisaient savoir qu’il y avait une augmentation des décès de 40% au troisième trimestre 2021 et qu’elle touchait la population active des 18-64 ans, c’est-à-dire dans la période où les injections Covid ont été imposées aux populations de moins de 65 ans. Les analyses de la compagnie montraient qu’il ne s’agissait pas d’une hausse liée au Covid mais bien aux injections. De même, l’avocat Todd Callender, associé à la direction d’un groupe d’assurance, explique que depuis la vaccination de masse, « la surmortalité aurait augmenté de 84 % et les maladies de 1 100 % ». En Allemagne, l’assureur maladie BKK ProVita déclarait en février 2022 qu’une analyse des données recueillies auprès de plus de 10 millions de personnes suggère que les effets secondaires du vaccin COVID sont “significativement” sous-déclarés et qu’un risque pour la vie humaine ne peut pas être exclu.

Pour rappel, pour faire face à une énième vague de Covid gouvernements ont toujours opté pour une vaccination généralisée et expérimentale utilisant de nouvelles technologies, pour la majorité à ARN messager.
600.000 décès par an aux USA

Des données de santé du gouvernement britannique ont été adressées au sénateur Ron Johnson (R-WO) par l’un des meilleurs analystes d’assurance du pays et ancien analyste de recherche principal pour l’assurance non-vie américaine chez Sandford C. Bernstein & Co, Josh Stirling.

Sur la base des données recueillies, les personnes vaccinées contre le COVID-19 ont un taux de mortalité 26 % plus élevé en moyenne que celles non vaccinées. Par ailleurs, le taux de mortalité chez les personnes vaccinées de moins de 50 ans a fortement augmenté. Il est 49% plus élevé que chez les individus non vaccinés. Si on applique ce schéma aux Etats-Unis, on pourrait compter jusqu’à 600.000 Américains décédés par an, d’après Stirling.
Situation plus extrême pour ceux qui n’ont reçu qu’une seule dose

L’analyste d’assurance explique que le taux de mortalité est plus élevé chez les personnes ayant reçu qu’une seule dose du vaccin, en déclarant « le pire de tout – les personnes qui n’ont pris qu’une seule dose du vaccin ont un taux de mortalité d’environ 145% pire ».

En effet, certains individus ont fait face à des effets indésirables après la première injection des vaccins contre le Covid-19. Ils ont été obligés d’arrêter la vaccination. Certains d’entre eux ont développé des maladies graves qui ont causé leur décès.

Les données du gouvernement du Royaume-Uni ont aussi révélé que le nombre de décès dû au Covid-19 est particulièrement faible chez les personnes ayant refusé de se faire vacciner. Le taux de mortalité est de 26% en moyenne.

Pour rappel, en novembre 2021, la FDA a déjà produit un premier lot de documents comportant 500 pages. Ils ont révélé que les vaccins ont causé 1.200 décès. Ces effets secondaires graves survenaient dans les 90 jours qui avaient suivi l’utilisation du vaccin de Pfizer. La FDA a fait valoir qu’il lui fallait jusqu’à 76 ans pour examiner et publier toutes les informations. A noter que la « vaccination » anti-Covid pourrait exclure les personnes des garanties contractuelles parce qu’il s’agit d’un traitement expérimental. Par ailleurs, on note le manque de transparence sur ces sujets, qui est couvert par nos dirigeants et les médias subventionnés.

Cette tragédie n’est ni le fait d’une mauvaise gestion ni celui de l’incompétence, mais le résultat de la mise en œuvre d’une idéologie, coordonnée et entretenue par des mensonges officiels de plus en plus visibles. En 2021, selon le Pr Robert Malone, inventeur de l’ARNm, le refus de l’accès aux traitement efficaces comme l’Ivermectine aura été la cause de centaines de milliers de morts, 85 % des personnes décédées de la maladie auraient pu être sauvées si des protocoles de traitement précoces avaient été adoptés.0

L’Échelle de Jacob

Source : Le Courrier des Stratèges

Covid : les ratés du traitement

Dr Gérard Maudrux :

De Gaulle aurait dit : « des chercheurs qui cherchent, on en trouve, mais des chercheurs qui trouvent, on en cherche ». Désolé, des chercheurs qui cherchent, on n’en trouve plus chez nous, mais on en trouve dans les pays plus pauvres. Chez nous on en trouve dans les grands laboratoires, mais ils cherchent le profit avant le résultat.

CEUX QUI CHERCHENT

Pendant que les pays occidentaux interdisaient non seulement de trouver mais aussi de chercher un traitement efficace contre le Sars-Cov-2, faisant confiance aux grands laboratoires pharmaceutiques pourris de multiples condamnations pour fraudes dans leurs résultats et publications, les pays dits pauvres, c’est à dire sans intérêt financier pour les laboratoires pharmaceutiques, ont eu une approche beaucoup plus intelligente. Ils ont cherché dans leur pharmacopée ancestrale, ce qui pouvait être efficace, compte tenu des propriétés pharmaceutiques de chaque produit.

Alors que, chez nous, on bloquait tout ne recherchant pas le traitement de la maladie mais la seule élimination de la spike issue d’une brillante recherche, ces pays ont fait ce que l’on nous a interdit de faire. Non obnubilés par cette spike, après avoir constaté ce dont le virus avait besoin pour se développer et par quel mécanisme il était toxique, ils ont étudié quels étaient les produits pouvant d’une part empêcher la pénétration du virus et sa multiplication (notamment sur l’ACE et l’angiotensine nécessaires au virus pour pénétrer dans les cellules), et d’autre part ce qui pouvait contrer ses effets délétères. Ils s’en sont bien mieux sortis que nous avec une mortalité globalement 4 fois inférieure à la nôtre si on tient compte des plus de 65 ans (sinon c’est 10 à 30 fois inférieure). Au tout début j’évoquais un possible facteur racial, j’avais sans doute tort, ils n’ont en fait pas jeté aux orties les recettes de grand’mère.

Ainsi, on retrouve nombre de publications au Moyen Orient et en Orient, qui montrent cette recherche intelligente. Contrairement à nous, ils n’ont pas regardé les plantes de leur médecine traditionnelle en tant que plantes, mais en fonction de leurs différents produits actifs. Les publications et les études reprenant les anciennes découvertes ont été très nombreuses. Plusieurs centaines, j’en ai sélectionné quelques-unes.

Ainsi au Pakistan, Ahmed et Jamil, partant du constat que c’était une maladie pulmonaire causée par un coronavirus, et que « « le virus pénètre dans le corps de l’hôte en interagissant avec le récepteur ACE2 », ont très méthodiquement et logiquement recherché dans tous les travaux et les publications antérieurs (187 références) « l’utilisation historique des plantes médicinales traditionnelles arabes ou islamiques comprenant des composés chimiques ayant des propriétés antivirales (sur ACE2), immunomodulatrices, antiasthmatiques, antipyrétiques ».

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Les 7 principaux types de cancer qui ont explosé depuis les injections Covid de protéines spike

Jeudi, 20 Avril 2023 par : S.D. Wells

Cet article peut évidemment contenir des déclarations reflétant l’opinion de l’auteur.

https://citizens.news/718400.html

Qu’est-ce qui pourrait provoquer l’aggravation de presque tous les types de cancer en l’espace de quelques mois ?

Quelle toxine tant d’êtres humains ont-ils “consommé” au cours des deux dernières années pour que tant de cas de cancer augmentent de manière exponentielle ?

En 2022, le cancer du sein invasif a été nouvellement diagnostiqué chez plus d’un quart de million de femmes, alors que les taux d’incidence continuent d’augmenter.

De même, en 2022, le nombre de nouveaux cas de cancer du poumon diagnostiqués a dépassé les 230 000, ce qui confirme l’augmentation des taux d’incidence.

De plus, après des décennies de déclin, les cas de cancer de la prostate sont désormais en hausse. Que se passe-t-il donc ?

(https://news.harvard.edu/gazette/story/2022/09/researchers-report-dramatic-rise-in-early-onset-cancers/)

Curieusement, depuis l’apparition des “vaccins” Covid-19, des millions de victimes des injections développent un cancer “à l’improviste”,

ou leur cas de cancer s’est soudainement aggravé,

ou encore leur cancer était en rémission et il est soudainement réapparu avec force.

Il convient d’examiner attentivement la situation. Examinons la situation de plus près.

Augmentation spectaculaire du nombre de cancers précoces depuis que les vaccins expérimentaux à ARNm Covid ont été autorisés pour des essais de masse sur l’homme

On pourrait dire qu’il y a plusieurs milliards de cobayes sur terre, qui se baladent comme des zombies désorientés, se demandant pourquoi ils souffrent soudain d’une inflammation chronique. Chaque être humain auquel on a injecté la “technologie” expérimentale de l’ARNm est comme un animal testé en laboratoire, qui attend de savoir si le “médicament” agit ou s’il l’élimine à sa place.

https://citizens.news/670837.html

Des millions de décès dus au cancer sont aujourd’hui dissimulés par le complexe industriel médical et le complexe industriel vaccinal.

Un médecin de Colombie-Britannique, le Dr Charles Hoffe, a effectué des examens TEP/TDM sur des patients cancéreux qui avaient reçu une semaine auparavant une injection de rappel d’ARNm de Pfizer, et a constaté qu’ils présentaient une progression rapide du lymphome à cellules T, une augmentation spectaculaire des lésions gastro-intestinales, ainsi qu’un effet turbo de propagation des cellules dans les ganglions lymphatiques situés sous les bras, près des aisselles.

On parle de TURBO CANCER parce que les protéines spike servent de carburant ou d’agent cancérigène qui alimente les cellules cancéreuses et leur permet de se multiplier de manière exponentielle, en envahissant le reste du corps. Les protéines spike désactivent littéralement les gènes qui luttent contre le cancer (P-53), laissant le génome sans surveillance.

Il s’avère que les protéines spike sont l’aliment parfait pour nourrir le cancer. Cela signifie que la majorité des patients vaccinés contre Covid pourraient subir des dommages graves pour leur santé dans les mois et les années à venir, d’autant plus que de plus en plus de personnes reçoivent des injections de rappel. Les cellules cancéreuses du corps injecté par le vaccin Covid sont nourries, tandis que le système immunitaire humain reçoit l’instruction (pensez à l’ARNm) de se mettre en veilleuse et de ne pas combattre le cancer.

Les prions toxiques connus sous le nom de “spike proteins” sont reconnus par le système immunitaire comme des envahisseurs étrangers et des agents pathogènes qui envahissent les organes vitaux.

Attaque des clones tueurs. De minuscules petits terroristes (protéines spike) déguisés et portant un “masque” qui ressemble à un virus fabriqué en laboratoire envahissent les organes humains, provoquant l’attaque du système immunitaire, tout en fournissant aux cellules cancéreuses maléfiques le carburant dont elles ont besoin pour se développer et prendre le dessus.

Ces prions toxiques imitent un virus mortel et ne restent pas au point d’injection, contrairement à ce que prétend le complexe industriel des vaccins qui désinforme les masses à ce sujet.

Quiconque lutte contre le cancer ou l’a déjà combattu et l’a vaincu a maintenant un nouveau défi à relever, et il s’agit plus d’une guerre que d’une simple bataille. Des millions de protéines de pointe flottent dans leur système injecté par le vaccin Covid, et c’est comme si l’on répandait des bonbons dans la maison pour que les cafards et les fourmis les trouvent. Le cancer est alimenté par les injections de grippe de Fauci, et les MSM n’en disent pas un mot. Il suffit de regarder la montée en flèche des cas de toutes sortes de cancer au cours des deux dernières années pour s’en rendre compte.

https://citizens.news/674936.html

1. Le turbo-cancer – les tumeurs existantes se développent exponentiellement plus vite (plus des tumeurs multiples dans plusieurs organes).

2. Le cancer du sein

3. Récidive (et métastases) après une rémission complète avant le(s) traitement(s) Covid

4. Cancer du poumon et des bronches

5. Cancer de la prostate

6. Cancer du colon et du rectum

7. Cancer de l’estomac et de l’œsophage

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Les sources de cet article sont les suivantes :

NaturalNews.com

News.Harvard.edu

ThePeoplesVoice.tv

Relevé sur Cogiito