La courbe américaine des excès de décès par cancer post vaccinaux chez les moins de 50 ans : causalité ou corrélation. Regardez bien !

 

Une chose importante à noter dans le graphique DFT de mortalité excessive par cancer  -> L’accord entre la création et l’inflexion. C

et accord est BEAUCOUP plus fort qu’une simple corrélation. Ce n’est PAS du tout une corrélation. Il suggère une cause spécifique comme hypothèse principale.

Le début – la semaine 51 de 2020 – est le moment où la loi du grand nombre force l’effet du vaccin à se manifester presque immédiatement en raison de la taille ou de la vulnérabilité spécifique de la population (citoyens âgés) qui est touchée.

Cela commence 7 jours après l’introduction du vaccin. C’est à l’inflexion – semaine 14 2021 – que se produit la prise d’effet la plus rapide – ce point introduit une nouvelle inertie (tendance) dans l’arrivée des décès, tendance qui est désormais tenace.

C’est la semaine où l’administration du vaccin est la plus rapide. Ceux-ci représentent l’arrivée de cas marginaux – ils arrivent rapidement – ​​et ne sont pas représentatifs du cas « moyen ».

Le cas moyen n’arrivera peut-être pas encore avant une décennie ou plus. Évitez donc de penser en termes de moyennes dans ce domaine (cécité gaussienne). Cette courbe culminera et recommencera à redescendre, à un moment proche du moment où nous atteindrons le cas « moyen ». Priez pour que cela arrive bientôt.

source: @EthicalSkeptic

Le blog de Patrice Gibertie

102e étude sur l’ivermectine, 99,6 % d’efficacité en EHPAD

On nous a menti au-delà de l’imaginable et pas une semaine ne passe sans que nous soient annoncées de nouvelles études prouvant l’efficacité de quelques traitements qui nous ont été interdits. Souvenons-nous quand même de cette période où l’on achevait les personnes âgées dans les Ehpad à coup de Rivotril pour ne surtout pas tenter de leur sauver la vie avec des traitements à base d’ivermectine, d’hydroxychloroquine ou d’azithromycine. Et ce n’est pas la lecture de cet article qui pourra apaiser, les époux, épouses ou enfants de victimes de cette folle politique. Mais combien d’entre eux ont fait justice ou poursuivent au moins le combat pour qu’elle soit un jour rendue ? (NDLR)

Article du docteur Gérard Maudrux

La pandémie de Covid a représenté un défi sans précédent pour les maisons de retraite, médicalisées ou non. Une 102e étude (colombienne) vient d’être publiée, intéressante car elle concerne la vraie population à risque qu’il convient de soigner en cas de Covid : les personnes très âgées avec comorbidités. C’est là que l’on peut voir les vrais résultats significatifs, pas dans une population de 40-50 ans sans comorbidités comme on le voit dans toutes les études faites pour dénigrer les traitements précoces, donnant des résultats toujours positifs mais présentés comme « statistiquement non significatifs ».

En préambule rappelons une vaste étude aux USA sur la mortalité, Covid et non-Covid, selon la qualité des établissements. Les données de l’étude concernent 14 905 maisons de retraite ayant déclaré les causes de mortalité, 516 maisons ayant été éliminées pour rapports insuffisants ou incohérents (étude traduite ici).

Les auteurs américains relèvent, au 15 août 2021, 634 200 décès dus au Covid aux USA dont 137 318 (21 %) en maison de retraite, avec un taux de 87 décès pour 100 000 hors maisons de retraite, contre 9 200 pour 100 000 dans ces établissements, soit 108 fois plus. En ne tenant compte que des plus de 65 ans, cela fait 23 fois plus. Dans certains États, 12 % des pensionnaires sont décédés, avec des variations entre États pouvant aller de 1 à 10 qu’ils n’expliquent pas. Fin 2020, 17 % des établissements ne signalaient aucun décès. Il est clair que certains devaient traiter, d’autres pas, seule explication crédible pour expliquer ces différences.

Les auteurs ont classé les établissements de seniors selon la qualité des prestations et soins, constatant qu’en début d’épidémie (au 13 septembre 2020), la mortalité Covid était inférieure de 15 % dans les 5 étoiles, par rapport aux 1 étoile, certaines mesures ayant peut-être mieux empêché le Covid d’entrer ou de se propager. Toutefois, ils constatent également que la mortalité non-Covid dans les établissements haut de gamme était supérieure de 11,4 % au 13 septembre 2020 et de 15 % au 15 avril 2021. Ils attribuent cette surmortalité hors Covid probablement aux mesures d’isolement et à la solitude, plus sévères dans ces établissements, comme le montrent nombre d’études citées dans l’article. Les auteurs n’éliminent pas non plus la possibilité que si les maisons de moindre qualité ont connu moins de décès non-Covid, c’est sans doute que les résidents les plus fragiles sont morts du Covid. Notons qu’il y a peu de chances de biais concernant les déclarations, car depuis le 8 mai 2020 la déclaration au CDC était obligatoire sous peine d’amende de 1 000 $ en cas de carence. Le tout était publié chaque semaine.

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La Terre promise

Voici un extrait de l’ouvrage de Maurice Bardèche « Nuremberg ou la terre promise ». En le lisant on peine à croire que le texte en question ait été publié en 1948, soit il y a 76 ans… (NDLR)

« Le point final est atteint ici. Les différences nationales seront peu à peu laminées. La loi internationale s’installera d’autant mieux que la loi indigène n’aura plus de défenseurs. Les gérances nationales que nous décrivions tout à l’heure prennent dans cette perspective leur véritable signification : les États ne seront plus que les arrondissements administratifs d’un seul Empire. Et d’un bout à l’autre du monde, dans des villes parfaitement pareilles puisqu’elles auront été reconstruites après quelques bombardements, vivra sous des lois semblables une population bâtarde, race d’esclaves indéfinissable et morne, sans génie, sans instinct, sans voix. L’homme déshydraté régnera dans un monde hygiénique. D’immenses bazars résonnants de pick-up symboliseront cette race à prix unique. Des trottoirs roulants parcourront les rues. Ils transporteront chaque matin à leur travail d’esclave la longue file des hommes sans visage et ils les ramèneront le soir. Et ce sera la terre promise. »

Nicolas Bonnal

Cardiologues et cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe

Aux États-Unis les données sont publiques : 66 % de décès cardiaques en plus

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Mort subite d’origine cardiaque chez les personnes plus jeunes, en hausse de 66 % (21 sigma), la mortalité liée à l’abus de drogues étant supprimée des données. C’est austère, mes amis. Les anecdotes ne sont pas fausses. Si vous êtes un consommateur de drogue occasionnel et que vous avez reçu le vaccin à ARNm, consultez immédiatement votre médecin.

Pour ceux qui ne savent pas lire les graphiques, la création de ces données commence le 26 décembre 2020, 12 jours après le déploiement du vaccin auprès des professionnels de la santé et des personnes à risque. Il ne s’agissait pas uniquement de personnes âgées.

À la semaine 39 2023, la mort cardiaque subite chez les jeunes s’élevait à 930 décès par semaine. Il s’agit de 131 000 jeunes morts, dont une partie était des consommateurs de drogues occasionnels qui n’avaient aucune idée que leur cœur avait été endommagé/affaibli par le vaccin à ARNm.

Cela n’inclut pas les décès d’usagers d’héroïne, de fentanyl et de méthamphétamine. Le 131K inclut les décès survenus en fumant un J, en buvant une bière ou en étant décédés, mais « ayant déjà pris de la drogue » — mais pas au moment de leur décès.

Félicitations à Chris Cuomo @ChrisCuomo pour avoir montré notre analyse des tendances américaines en matière de décès par néoplasmes selon les codes CIM : C00-D48, 15-44 ans dans sa discussion.

Dr JF Lesgards Marseille
@marseille_jeff

Cardiologues & cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe. Mais ils savent que s’ils parlent, ils sont finis. Même si cette tyrannie est organisée en très haut lieu, ne pas alerter les Français fait que nous avons cessé d’être une société.

Nouveau Monde

Liliane Held-Khawam publie « L’Humanité vampirisée »

Chers amis,

Après moult cyberpéripéties, nous nous sommes décidés quand même à diffuser cet ouvrage qui déchaîne la fureur du système. Ne me demandez pas pourquoi. Je ne saurais vous répondre.

Ce que je peux supposer, c’est que dans un monde régi par les systèmes de l’Information, que j’ai baptisés système de info-bit, les discours contrariants ne sont pas les bienvenus. Si vous ajoutez de surcroît le fait que cet ouvrage est le 3ème d’une trilogie qui tente de « déplomber » le concept qui a servi à construire le Nouveau Monde, on commence à comprendre que le coup de projecteur pourrait être considéré comme trop cru, en cette veille de finalisation de l’Accord de l’OMS en matière de futures pandémies.

Ce Traité est vital pour les modélisateurs de la nouvelle société. L’enjeu final, selon les technologies étudiées dans cet ouvrage (NBIC), serait le transhumanisme, et partant la cyborgisation de l’humanité.

A l’issue de l’étude des deux premiers tomes, nous avions conclu que le modèle du Nouveau Monde relevait de la mutation de la planète en une corporation unique, de structure complexe, systémique et transversale, traversée par des myriades de processus et d’interactions.

En 2019, avec Coup d’État planétaire, nous avions annoncé avant l’heure un RESET qui devait révolutionner la société.

Avec le 3ème tome, je me suis rendue compte avec stupéfaction que l’organisation unique s’appuyait sur des croyances spirituelles. L’athéisme avait servi à se débarrasser des grandes religions monothéistes. Il s’est avéré que le projet des architectes du nouveau monde était fortement cadré par une techno-religion.

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Le mois de mars connaît un excédent pluviométrique de près de 85% en France

pluie
Avec des précipitations très abondantes en ce mois de mars, Météo France note ce mercredi 3 avril que le pays a connu un excédent pluviométrique de près de 85% (Unsplash)
En fait de sécheresse, une bonne partie des régions de France n’a jamais reçu autant d’eau. Dans le Nord de la France, il pleut presque tous les jours depuis octobre dernier. Le vrai problème ce sont les inondations, l’humidité, la moisissure… (NDLR)

Avec des précipitations très abondantes en ce mois de mars, Météo France note ce mercredi 3 avril que le pays a connu un excédent pluviométrique de près de 85%. Il reste cependant un net déficit pour les départements de l’Aude ainsi que des Pyrénées-Orientales qui constituent l’exception.

L’organisme public note que « en mars 2024, les précipitations ont été abondantes sur l’ensemble du territoire, plus particulièrement des Cévennes à la région Provence-Alpes-Côte d’Azur où de nombreux records de pluviométrie ont été enregistrés ».

Tout en se basant sur la période de référence 1991-2020, Météo France annonce que « à l’échelle nationale, l’excédent pluviométrique atteint environ 85% ». Il s’agit en cela du « 5e mois de mars le plus arrosé depuis le début des mesures en 1958 (derrière 2001, 1979, 1978 et 2006) ».

Différents départements de France ont été marqués par des intempéries et des crues au cours du précédemment mois. Nous pouvons mentionner à ce titre le Gard et l’Hérault, et plus récemment les terribles inondations en Indre-et-Loire ou en Bourgogne. Un record s’établit aussi à Nîmes, avec 250,4mm de pluie sur le mois.

Ces importantes précipitations n’ont cependant pas touché uniformément le territoire. Des disparités apparaissent, comme le souligne le service météorologique. « L’Aude et les Pyrénées-Orientales présentent un déficit de pluviométrie atteignant 50% par endroits ».

Seuls 31mm de pluie sont comptabilisés à Perpignan ou encore 40mm à Carcassonne, ce que Météo-France relève comme étant un épisode de grande douceur pour le mois de mars, associé à des températures clémentes. En effet, ces précipitations représentent « à peine la moitié de la normale d’un mois de mars ».

Le retour de cette pluie coïncide avec le réveil de la végétation. Les végétaux ont besoin d’eau, ce qui participe à la reprise végétative. Cependant, l’excès d’eau provoque des effets de coulure et favorise le développement des maladies chez les végétaux. » Il ne faut pas oublier que seules 20 à 23% des précipitations annuelles parviennent à s’infiltrer en profondeur pour reconstituer ces nappes sur le territoire.

FranceSoir.fr

Google reçoit l’ordre d’identifier les personnes qui ont regardé certaines vidéos sur YouTube

Nous n’en sommes plus très loin en France avec les récentes mesures prises au prétexte des Jeux olympiques mais voici les dernières avancées outre-atlantique de la disparition de toute liberté d’expression et de l’anonymat. Nous savons vers quoi nous allons mais n’y aura-t-il vraiment aucun sursaut, aucune révolte, aucune contestation ? (NDLR)

Un ordre d’une portée considérable et d’une grande ampleur.

Les forces de l’ordre et les tribunaux fédéraux américains ont franchi une nouvelle étape dans leurs efforts extrêmes pour surveiller les activités des internautes, y compris sur les vastes plateformes de Google.

Dernièrement, le géant de la technologie a reçu l’ordre d’identifier toutes les personnes qui regardent certaines vidéos ou certains flux vidéo en direct sur YouTube.

Après avoir censuré directement des créateurs et des chaînes, donné des données de géolocalisation de ses utilisateurs aux autorités en réponse aux mandats controversés de géofencing, voici un nouvel exemple de la manière dont Google peut être utilisé et abusé dans le cadre d’”enquêtes” de type “dragnet”.

Le fait de démasquer toutes les personnes qui ont regardé une vidéo particulière est similaire au geofencing en ce qu’il fait de chacun un suspect – ce qui, selon un certain nombre d’experts et d’associations de défense des droits, est inconstitutionnel, c’est-à-dire qu’il viole le quatrième amendement, qui protège contre les perquisitions abusives.

Forbes écrit qu’il a eu accès à plusieurs ordonnances nommant certaines vidéos YouTube, citant un cas non scellé provenant du Kentucky et ayant trait à des personnes visionnant du contenu posté par un utilisateur que les forces de l’ordre soupçonnent de blanchiment d’argent pour avoir vendu des bitcoins contre de l’argent liquide.

Des agents infiltrés avaient contacté l’utilisateur en lui envoyant des liens vers des tutoriels sur la cartographie par drone et la réalité augmentée, pour qu’il se tourne ensuite vers Google et demande à savoir qui a regardé les vidéos.

Les vidéos ont été visionnées plus de 30 000 fois et un tribunal a ordonné que tout utilisateur ayant regardé les vidéos entre le 1er et le 8 janvier 2003 soit démasqué.

L’ordonnance demandait les noms, adresses, numéros de téléphone et activités de compte de chaque utilisateur de Google, ainsi que les adresses IP de tous ceux qui ont regardé les vidéos sans avoir de compte.

“On peut s’attendre à ce que les forces de l’ordre n’aient pas accès à ces informations (personnelles sensibles) sans motif valable”, a déclaré John Davisson, de l’Electronic Privacy Information Center. “Cette ordonnance renverse cette hypothèse.”

Lorsque la police a demandé la délivrance de l’ordonnance, elle a déclaré : “Il y a des raisons de croire que ces dossiers seraient pertinents et importants pour une enquête criminelle en cours.”

Bien que Google se soit conformé à la demande de garder le silence sur tout cela jusqu’à ce que les documents soient dévoilés la semaine dernière, selon Forbes, ils “n’indiquent pas si Google a fourni ou non des données dans l’affaire”.

Une autre affaire, dans le New Hampshire, concernait une alerte à la bombe dans un lieu public et des personnes qui regardaient en direct la police en train de fouiller la zone. La diffusion en direct a été possible grâce à une caméra installée dans les locaux d’une entreprise voisine.

Ensuite, la police a voulu savoir exactement qui l’avait regardé, notamment sur une chaîne YouTube appartenant à Boston and Maine Live, qui compte 130 000 abonnés.

Là encore, on ne sait pas si Google a répondu à l’appel.

Lire aussi : Le nouveau PDG de YouTube, Neal Mohan, est favorable à la censure de la « désinformation » et au renforcement des sources « dignes de foi »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche

Pas vu à la télé : la mortalité infantile est en hausse

Un article du Dr Gérard Maudrux

Catherine Teilhet fouille inlassablement dans les statistiques officielles pour les rendre lisibles. Comme elle stocke les anciennes données pour les comparer avec les nouvelles, ce que ne font pas nos journalistes et se gardent de communiquer les autorités, la dernière fois elle nous informait de la disparition soudaine de milliers de pathologies et de décès dans les statistiques des effets secondaires des vaccinations de l’Agence Européenne du Médicament. Voici son dernier travail sur la mortalité infantile, texte et tableaux :

Les statistiques, c’est comme le bikini. Ce qu’elles révèlent est suggestif. Ce qu’elles dissimulent est essentiel“, Aaron Levenstein, économiste et statisticien américain …

Les données INSEE des décès infantiles toutes causes confondues de 2000 à février 2024 sont préoccupantes ; en effet, si, ainsi que le démographe Emmanuel Todd l’avait anticipé pour la Russie d’avant Vladimir Poutine, le taux de mortalité infantile est corrélé à l’état de santé général du pays, alors, la France va mal, vraiment mal !

Voici les données de la mortalité infantile des enfants de moins d’un an sur les 24 dernières années, alors que, bon an, mal an, les taux de mortalité infantile diminuent lentement, 2022 et 2023 sont des années à la hausse, à rebrousse poil de la baisse attendue…

 AGRANDIR

De même, pour les enfants de moins de 13 ans, 2022 affiche une recrudescence de mortalité, les rangs 12 et 11 sont les classements (en rouge et gras) des pires « scores » par année depuis 2012

AGRANDIR

Par contre, les taux de décès de l’année 2020, année du Covid, bien que supérieurs à ceux de 2016, 2017, 2018 et 2019, sont nettement inférieurs à ceux de 2022, année des énièmes doses d’injections anti-Covid … Bizarre, vous avez dit bizarre, pas de matraquage médiatique à ce sujet ? Doit-on en conclure qu’il fut moins mortel de laisser dépérir sans soins des dizaines de milliers de personnes âgées, voire de les achever à coup de Rivotril, que d’injecter les survivants, à moins que j’ai raté un épisode, une météorite aurait-elle heurté brutalement la France, semant la mort sur son passage en 2022, je n’en n’ai pas souvenance ?

AGRANDIR

Mais qui décède depuis quatre ans ? Les plus de 65 ans, et, en 2022, les nouveau-nés, la barrière placentaire n’a peut-être pas pu suffisamment les protéger des injections lors de la grossesse, suis-je médisante …

AGRANDIRde 5 à 10 % selon les pays

Signalons également que quasiment tous les pays au monde signalent une baisse de la natalité de 5 à 10 % selon les pays, depuis 2-3 ans. Lorsqu’elle était préexistante comme en France, l’aggravation est nette.

Covid : Faits et chiffres

La manipulation Covid dévoilée en Allemagne, les médias mainstream obligés de revoir leur narratif et d’adhérer aux thèses dites complotistes qu’ils attaquaient il y a encore un an

Silvano Trotta, lanceur d’alerte, suit l’actualité par passion depuis plusieurs années. Malgré le fait que de nombreux articles lui ont réservé le titre de désinformateur et complotiste, il continue à informer. Il est aussi très suivi sur X et télégram.

Dans ce debriefing, Silvano Trotta décrypte la situation actuelle en Allemagne. Depuis le 19 mars 2024, l’Allemagne est en proie à des révélations importantes sur la gestion de la crise Covid. Le magazine Multipolar, qualifié de complotiste pendant toute la pandémie, a obtenu plus de 1000 pages des comptes rendus du RKI (l’Institut Robert Kock) en charge de la gestion de la crise sanitaire en Allemagne. Il s’agit de procès-verbaux de réunions s’étant tenues pendant la première année de la crise covid entre le gouvernement allemand et le RKI, ces procès-verbaux ayant été classés sous le secret défense.148 pages sont caviardées et Multipolar continue d’ester en justice afin d’obtenir la transparence totale sur cette gestion de la crise Covid.

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Nouvelle étude dans The Lancet : 4 produits efficaces à 100 % sur le Covid-19

Article du Dr Gérard Maudrux :

Nouvelle étude en cours de publication par The Lancet (avril 2024), avec efficacité à 100 % de différents traitements pour le Covid. Je crois tout ce qui est mentionné dans cette étude, mais elle me laisse perplexe et mal à l’aise.

Déjà, publier en mars 2024 pour traiter une maladie terminée ne rend service à personne, et bien que cela ne soit certainement pas l’intention des auteurs, elle tend à faire croire qu’aux dires des adeptes des traitements médicamenteux, n’importe quelle poudre de perlimpinpin pouvait venir à bout du Covid.

En effet, mélangez fluvoxaminebromhexine, cyproheptadine ou niclosamide, tout marche à 100 %. La fluvoxamine ? Un antidépresseur. La bromhexine ? Fluidifie les sécrétions bronchiques. La cyproheptadine ? Un antihistaminique pour les allergies. Le niclosamide ? Un antiparasitaire contre le ver solitaire (ténia). Une vraie salade du dimanche alors que l’on parle de virus !

L’ÉTUDE

C’est d’abord une étude « aux normes », randomisée, contrôlée, relue et publiée dans une ex « prestigieuse » revue. 1 900 personnes recrutées, 995 ont terminé l’essai. Avec plusieurs groupes :  fluvoxaminefluvoxamine + bromhexinefluvoxamine + cyproheptadine ou niclosamide + bromhexine, versus soins standard.

Des bons points : traitements très précoces, le début des symptômes ne devait pas excéder 48 heures, et patients tous symptomatiques et testés positifs. Des mauvais points, limité en dessous de 60 ans et exclusions des comorbidités importantes. On retrouve cette sélection dans les études censées dénigrer les traitements avec une population jeune et sans comorbidités, population qui guérit seule devant conduire à une différence « statistiquement non significative ». En fait ce n’est pas le cas dans cette étude.

Après 28 jours, on constate qu’il n’y a que 9 patients (groupe fluvoxamine seule) qui ont eu besoin d’un peu d’oxygène, soit 5,6 %, contre 37,5 % de patients du groupe témoin hospitalisés avec 20,8 % ayant eu besoin d’oxygène.

Les meilleures améliorations aux 9e, 14e et 28e jours l’ont été dans les groupes associant fluvoxamine avec un autre produit. Il y a eu 23 évènements indésirables classés graves dans le bras témoin, un seul dans le bras fluvoxamine, aucun dans les autres groupes, avec diminution significative de la charge virale dès le 3e jour dans les groupes traités, ainsi que des cytokines interleukines dosées (IL-6, IL-1β, IL-8) la première semaine. Clair et net.

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Folie : le gouvernement annonce des réquisitions pour l’Ukraine ! (vidéo 12:40)

Nous y voilà ! Les « complotistes » avaient encore raison lorsqu’ils alertaient sur les dangers de la loi de programmation militaire prévoyant explicitement des réquisitions. Une nouvelle étape importante vient encore d’être franchie avec les déclarations du ministre des armées. Les gentils petits moutons vont-ils enfin se réveiller ? On veut y croire ! (NDLR)

Le Pr Philippe Parola démis de ses fonctions à l’IHU de Marseille

La crise du Covid est terminée, mais la chasse aux sorcières se poursuit. À l’IHU de Marseille, le Pr Philippe Parola, ancien bras droit du Pr Raoult, vient d’être démis de ses fonctions de chef de service au pôle des maladies infectieuses. Ses avocats annoncent qu’ils vont saisir la justice pour « harcèlement et abus de pouvoir ».

◆ Une sanction avant la fin d’une instruction

Le Pr Philippe Parola, chef du service des maladies infectieuses aiguës à l’IHU de Marseille, vient d’être démis de ses fonctions par la direction de l’Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM). Il l’a annoncé officiellement dans un tweet en date du 19 mars dernier, où il fait suivre un communiqué de ses avocats, maîtres Éric Lanzarone et Pierre Bruno.

« Cette décision a été prise, alors qu’une saisine de la juridiction disciplinaire des hospitalo-universitaires, à l’initiative d’un ancien ministre de la Santé (démissionnaire) [Aurélien Rousseau, NDLR] et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, est en cours d’instruction », soulignent les deux avocats, qui s’interrogent : « Sanction avant instruction ? Est-ce légal ? »

◆ À cause d’une étude sur l’hydroxychloroquine

En effet, selon nos confrères de France 3 Provence-Alpes-Côte d’Azur, « une procédure disciplinaire avait été lancée en décembre dernier contre trois médecins proches de Didier Raoult à l’IHU de Marseille. Dans le détail, les trois médecins visés sont Matthieu Million, chef de service des hospitalisations de jour de l’IHU-MI, Philippe Parola, chef de service des maladies infectieuses aiguës, et Philippe Brouqui, infectiologue. »

Il est reproché à Philippe Parola et à ses collègues d’avoir publié en avril 2023, sur le site MedRxiv, une étude portant sur 30 000 patients atteints du Covid et soignés à l’IHU Méditerranée Infection, démontrant que la prise en charge précoce de ces malades, par des traitements à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine, avait été efficace. Dans une tribune parue dans Le Monde du 28 mai 2023, seize sociétés médicales avaient dénoncé ce qu’elles qualifiaient de « plus grand essai thérapeutique “sauvage” connu à ce jour ».

Nexus

La grande prise : COMMENT ils veulent TOUT vous prendre ! Un film de David Webb (vidéo 8:56)

Tous les biens privés risquent de devenir lors du prochain krach financier la propriété de quelques grandes banques privées. Les lois nationales et internationales ont été modifiées dans le dos du public en vue de cette expropriation totale. Dans son livre récemment paru « The Great Taking (La grande prise) » David Webb, expert financier de haut rang et lanceur d’alerte, explique et démontre comment on en est arrivé là. [Livre disponible gratuitement en plusieurs langues sur : TheGreatTaking.com] Plus encore : le krach financier le plus dévastateur de tous les temps est à notre porte. En clair : TOUT LE MONDE peut tout perdre en un rien de temps. Mais David Webb voit aussi une chance et propose une solution viable. Regardez ses explications.

Extraits de « La grande prise » de David Webb :

Je m’appelle David Webb. Je vis à Stockholm, en Suède. J’ai géré des actions publiques et finalement des fonds spéculatifs [hedge funds = fonds d’investissement pour des placements alternatifs présentant un risque accru] dans la période qui a suivi la crise financière asiatique et qui a précédé la bulle dotcom [bulle dotcom = bulle spéculative créée par l’engouement pour Internet qui a éclaté en mars 2000] et son éclatement. Quand j’étais gamin, j’ai assisté au début de l’effondrement industriel de Cleveland, et j’ai grandi avec le besoin de comprendre ce qui nous détruisait. En effet, ma famille, qui avait été très heureuse auparavant, une famille heureuse et bienveillante, en a été profondément affectée, et cela a littéralement détruit l’endroit où j’avais grandi. J’ai donc décidé d’étudier l’économie et la finance.

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Une maladie ultra-mortelle explose : l’OMS est ravie ! (vidéo 12:56)

Sommes-nous déjà à la phase suivante du plan ? Une phase souvent annoncée sur ce blog en reprise des travaux de nombreux lanceurs d’alerte. L’OMS semble jouer le tout pour le tout afin d’avaliser le fameux article 4 de la loi contre les dérives sectaires . Ils ne nous lâcheront pas comme ça mais inutile de prendre peur et de s’inquiéter outre mesure. (NDLR)

Vaccins Covid: chez Pfizer on émettait secrètement des doutes dès 2021

Un lanceur d’alerte muni d’une caméra cachée révèle les inquiétudes de scientifiques du groupe pharma au sujet de la technologie ARNm.

Un ancien journaliste de Project Veritas, organisation devenue célèbre pour ses nombreuses révélations obtenues en caméra cachée, vient de publier des enregistrements inédits de scientifiques de Pfizer discutant leurs inquiétudes au sujet des vaccins Covid.

Infiltré comme employé chez Pfizer, c’est à la fin 2021 que ce journaliste, Justin Leslie, a réalisé ces enregistrements; or ils n’ont été publiés ni par Project Veritas, ni par James O’Keefe, le directeur de Project Veritas à l’époque (qui a depuis fondé une nouvelle organisation de lanceurs d’alertes).

Ces enregistrements viennent seulement d’être publiés par Liam Cosgrove et via le journaliste lui-même. Et ils créent déjà la sensation.

Des vaccins expérimentaux et “sournois”

Dans un premier extrait daté du 6 octobre 2021, la scientifique de Pfizer Kanwall Gill, lorsque M. Leslie lui pose en caméra cachée la question de savoir s’il est éthique et prudent d’administrer une deuxième dose du vaccin ARNm, dit la chose suivante:

Nous sommes dans une période étrange. Nous ne savions même pas, lorsque nous avons commencé, je dis aux gens, nous n’avions aucune idée de ce à quoi ça allait ressembler. Les vaccins ARNm existent depuis 50 ans, mais ne sont jamais arrivés aux essais cliniques. Parce que les vaccins ARNm sont connus pour avoir des effets secondaires. Moderna y travaille depuis 10 ans; ce n’est pas une nouvelle chose. Mais la raison pour laquelle on n’est jamais arrivé aux essais cliniques, c’est à cause de tous ces effets secondaires. Pfizer et Moderna ont utilisé l’urgence et la pandémie pour, en quelque sorte, le faire passer maintenant.

Puis le journaliste lui demande: “donc on ne pouvait pas obtenir l’autorisation de la FDA [ndlr: administration américaine des aliments et médicaments] jusqu’à ce qu’on ait cette urgence, n’est-ce-pas? On devait essayer quelque chose de nouveau?”.

Mme Gill hoche alors la tête, et M. Leslie d’ajouter: “Pourquoi n’avons-nous pas essayé une formulation de vaccin qui a été efficace par le passé, comme ce qu’on fait avec des œufs pour les vaccins contre la grippe?”.

Mme Gill répond alors:

Oui, donc, dans ce cas on ne l’a pas fait car on avait déjà une collaboration avec BioNTech sur la grippe, avant même que le Covid arrive. Donc l’ARNm … ce qui s’est passé, l’histoire derrière le démarrage c’est parce que le type de BioNTech, Ugur Sahin, le PDG de BioNTech, a téléphoné à Kathrin Jansen [ndlr: ex-responsable de la recherche et du développement des vaccins chez Pfizer], et lui a dit qu’il avait cette technologie, et qu’il n’avait pas les ressources pour la développer en grand. Donc Kathrin lui dit “et bien, nous avions une collaboration en place pour la grippe”. Donc, nous voulions essayer. Il y a un nouveau truc ARNm … personne ne savait rien dessus. Nous n’avions jamais fait cela. Tout était neuf depuis l’année dernière. Tout à été fait à la volée. Pandémie, juste déploie-le, déploie-le, déploie-le.

La vidéo est ensuite coupée, et dans le segment qui suit, on entend Mme Gill dire: “ce n’était pas le moment de penser, c’était le moment d’agir.”

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Plusieurs états portent plainte contre Ursula Von der Leyen pour corruption dans le cadre du SMS Gates. Entre entrave politique à l’enquête et recherche de soutien, quel avenir pour Ursula ?

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen prononce un discours sur les
Plusieurs états portent plainte contre Ursula von der Leyen pour corruption dans le cadre du SMS Gates. Entre entrave politique à l’enquête et recherche de soutien politique, quel avenir pour Ursula ? AFP – Valeria Mongelli
Article relevé sur FranceSoir.fr

Depuis 2021, l’association BonSens.org mène plusieurs actions juridiques, dont une action civile à l’encontre de Santé Publique France et de la société Pfizer/BioNtech, afin d’obtenir la nullité des contrats d’acquisition de vaccins contre la Covid sur le motif général que « la fraude corrompt tout ». Leur négociation, effectuée par une équipe dédiée, a été marquée par de nombreux échanges SMS entre la présidente Ursula Von der Leyen et Albert Bourla, président de Pfizer, dont le contenu reste à ce jour inconnu. Après analyse, le docteur en droit Olivier Frot déclarait  « un contrat aussi favorable à l’industriel, cela me parait anormal ».

Dans l’optique de lever l’opacité tant sur les contrats que sur les éléments de négociation, BonSens.org a cherché à obtenir les textos par une procédure en France et aux États-Unis. En effet, il y a lieu de penser que les SMS renferment un pacte de corruption qui pourrait expliquer les clauses léonines de ce contrat, notamment l’absence de responsabilité de Pfizer pour les effets indésirables, mais aussi l’absence des spécifications exactes des produits.

Devant l’impossibilité d’obtenir les SMS, Frédéric Baldan, lobbyiste belge, est parti du principe que les SMS ont été détruits. Le 5 avril 2023, il déposait une plainte pénale avec constitution de partie civile entre les mains de Frédéric Fresnay, juge d’instruction à Liège, contre Ursula Von der Leyen. Les chefs d’accusation étaient usurpation de fonctions et de titre, destruction de documents et prise illégale d’intérêt et corruption. Le juge d’instruction belge partait donc à la recherche des textos.

Très vite, l’affaire Baldan-Von der Leyen pris la tournure d’un combat politique, puisque le lobbyiste a vu ses accréditations suspendues avant d’être radié. Le 8 juin 2023, dans une interview faisant référence aux affaires (SMSGate, QatarGate, soupçons de corruption), Fréderic Baldan s’interrogeait : « face aux affaires, Ursula Von der Leyen peut-elle se maintenir à la présidence de la Commission européenne ? ».

En conéquences, il déposait une requête civile devant le Tribunal de l’Union européenne (TPE) demandant la suspension d’Ursula Von der Leyen et des commissaires européens tant qu’une action juridique pénale les concernant serait en cours afin d’éviter toutes pressions politiques (d’Ursula Von der Leyen ou autres) sur les juges, et ainsi de garantir ses droits fondamentaux et la bonne administration de la justice.

Quelques semaines plus tard, Florian Philippot, président du parti souverainiste français « Les Patriotes » se joignait à la plainte déposée par Frédéric Baldan auprès du juge Frenay, avant que le parti politique belge (VIVANT OsteBelgien) ne dépose plainte à son tour.

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Une œuvre de salubrité publique : feu le conseil constitutionnel !

Dans l’esprit des constituants de 1958, le Conseil constitutionnel devait rester une simple autorité chargée de veiller au respect et au bon fonctionnement de la Constitution. Or, en remontant le temps, on s’aperçoit que c’est depuis sa création que le Conseil constitutionnel souffre de conflits d’intérêts rédhibitoires, qu’il ne cessera d’aggraver par la suite (I) au point de dépouiller peu à peu la toge du juge  pour coiffer la casquette du Commissaire politique (II). La conclusion (III) insistera sur la nécessité de refonder nos assises en créant sur des bases entièrement nouvelles une vraie Cour constitutionnelle.

I – L’ACCUMULATION DES CONFLITS D’INTÉRÊTS

Le premier tient en filigrane à l’ambiguïté même du nom de Conseil constitutionnel. À l’exemple du Conseil d’État, la terminologie française confond volontiers le Conseil du Pouvoir et la Juridiction qui le contrôle. Ce mélange des genres confirme que la culture et la pratique juridiques de notre pays cumulent un bon siècle de retard pour tout ce qui se rapporte aux conflits d’intérêts. Or un juge ne peut être davantage le conseiller de celui qu’il contrôle que ce même conseiller ne peut être le juge assigné à ce pouvoir. Pourtant cette regrettable confusion sémantique, qui entache la création du Conseil constitutionnel, ne va cesser de s’aggraver dans les faits.

Le second conflit affecte plus gravement les modalités de désignation des neuf Sages. Tout procès équitable requiert un juge également indépendant des deux parties en présence:

– d’une part celle, publique, qui défend la constitutionnalité de la loi par la voix du Gouvernement;

– et d’autre part, de celle – de parlementaires avant le promulgation de la loi ou du requérant posant une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) – qui la conteste après cette promulgation.

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La plus grosse étude financée pour démontrer l’inefficacité de l’ivermectine n’y parvient pas

Article du Docteur Gérard Maudrux

J’aimerais revenir sur l’étude Principle déjà évoquée dans des précédents billets, car c’est un cas d’école. Le Dr Pierre Kory (USA) qui l’a bien décortiquée, parle de fraude. Non ce n’est pas seulement de la fraude, c’est une belle démonstration prouvant que ces études randomisées à coup de millions de dollars ou d’euros, sont des instruments de l’industrie pharmaceutiques pour, à la demande, faire valider de mauvais traitements ou démolir de bons traitements.

Principle fait partie des grandes études (2 157 patients traités + groupe témoin) financées pour mettre au placard l’ivermectine dont les résultats, mis en avant par nombre de soignants, étaient un frein énorme aux affaires de l’industrie pharmaceutique, la molécule aux coûts de fabrication dérisoires étant tombée dans le domaine public. Il n’est pas concevable qu’un traitement à 15 ou 20 euros puisse faire concurrence à un traitement à 1 000 ou 2 000 euros, ce serait la ruine de la première industrie au monde. L’enjeu financier est considérable, se chiffrant à plusieurs dizaines de milliards de dollars. Les petits médecins traitants sans conflits d’intérêts et leurs publications ne doivent pas être le grain de sable qui ferait dérailler la machine.

LE RESPONSABLE

Tout d’abord, il faut désigner un responsable pour mener l’étude, quelqu’un de fiable, pas comme Andrew Hill responsable de l’étude pour Unitaid/OMS qui se répandait dans la presse sur les résultats spectaculaires de l’ivermectine avant d’être mis au pas dans ses conclusions par Andrew Owen (mais les bons chiffres restent sur le site OMS), ou encore Edward Mills pour l’étude Together (Bill Gates/FTX) qui a dérapé en prétendant lors de la présentation que l’ivermectine était plus efficace que ce que rapportait son étude. Ici on a choisi un dénommé Christopher Butler. Il avait déjà œuvré pour essayer de mettre en avant le molnupiravir (étude Panoramic). Anecdote : molnupiravir et ivermectine sont des produits mis au point par Merck, Merck qui a tenté de démolir l’ivermectine quand il préparait la sortie du molnupiravir.

Pour bien situer  ce personnage, bon serviteur contrairement à Andrew Hill et Edward Mills, dans son étude Panoramic (molnupiravir + soins habituels versus soins habituels seuls), il écrit : « Le molnupiravir n’a pas réduit la fréquence des hospitalisations ou des décès », mais devant les société savantes il dit : « dans certains cas difficiles, c’est un médicament qui peut être très utile”.  Pour l’ivermectine, il retourne la veste, démontrant nous le verrons que cela réduit tous les symptômes dans les conditions les moins favorables, mais il écrit : « Les résultats de notre essai ajoutent à la certitude des conclusions sur ces résultats et soutiennent la position selon laquelle l’ivermectine ne devrait pas être utilisée pour traiter l’infection par le SRAS-Cov-2 ». Avec quelqu’un qui dit que l’on peut prescrire ce qui ne marche pas (avec de gros inconvénients, produisant des mutations du virus), et qu’on ne doit pas prescrire ce qui marche (sans inconvénients), on peut faire confiance.

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La Légion étrangère s’entraîne-t-elle en vue d’une intervention en Ukraine?

Article relevé sur Le Courrier des Stratèges

Des manœuvres d’envergure ont eu lieu en Creuse, au camp de La Courtine, ces derniers jours. Nos confrères de Southfront.press croient savoir que les troupes se tiennent prêtes à se rapprocher du front ukrainien dans la seconde quinzaine d’avril. Exactement le type d’informations que nous avons reçues hier et dont nous vous avons expliqué qu’il fallait les examiner sérieusement mais avec toute la prudence qui s’impose. En tout cas, malgré le silence du président de la République hier soir 14 mars, il y a des ”insiders” désireux que l’opinion soit alertée : l’envoi de troupes au sol en Ukraine est bien envisagé par le président et l’État-major français.

Hier et ce matin nous vous parlions déjà du 2è Régiment Etranger d’Infanterie. Après avoir poursuivi notre investigation dans la presse régionale, nous avons trouvé cet article du 6 mars dans La Montagne:

Le 2e régiment de la Légion étrangère basé à Nîmes s’exerce actuellement au camp militaire de La Courtine et se prépare à un exercice d’ampleur dans toute la Creuse. Près de 800 légionnaires vont s’entraîner dans la campagne et les rues de Guéret les prochains jours.

De quoi rompre une certaine quiétude à laquelle les Creusois sont habitués. Si le camp militaire de La Courtine est habitué à recevoir des soldats venir s’entraîner depuis de nombreuses années, la population creusoise l’est moins. Et c’est en partie dans cet objectif de faire manœuvrer un régiment dans un environnement réaliste, hors des camps militaires, que le 2e régiment étranger d’infanterie, unité de la Légion étrangère basée à Nîmes, et présent à La Courtine depuis le 19 février, va se déployer dans les deux tiers du département du 8 au 14 mars.

La Montagne, 6 mars 2024

Alors, pour prendre Guéret?

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Dorénavant pour l’OTAN, chacun est une cible

Opération psychologique : grâce à l’intelligence artificielle, l’OTAN va, hors de tout contrôle, massifier sa propagande et le ciblage des opposants.

Article repris du blog Donde vamos

L’OTAN encourage l’utilisation de l’IA pour les opérations psychologiques contre les civils. On suit ici les réflexions et avancées de l’OTAN dans le contrôle et la manipulation des populations.

Le dernier rapport en date marque un pas : c’est la doctrine en matière d’utilisation de l’intelligence artificielle pour mieux manipuler les populations civiles occidentales. Ce qui est inquiétant, c’est qu’aucune contrainte légale ou éthique ne peut être imposée à l’OTAN.

Rappelons d’abord que jusqu’à la guerre en Ukraine, l’OTAN ne pouvait pas mener d’opérations psychologiques sur la population civile européenne : elle ne pouvait officiellement agir que contre les populations civiles “ennemies”.

Changement de doctrine radical après le Covid-19 : maintenant l’OTAN cible en premier lieu sa propre population.

L’IA, un potentiel énorme en termes de surveillance et de manipulation

Dans la continuité de cette mobilisation des moyens militaires pour contrôler les masses occidentales, le rapport “AI in Support of StratCom Capabilities” (IA en appui des capacités de StratCom) ne présage rien de bon et mérite qu’on s’y arrête quelques minutes.

L’objectif de ce document est de “guider les praticiens de l’évaluation de l’environnement de l’information (IEA – information environnement assessment)”.

Il a été rédigé par STRATCOM, le département de la “communication stratégique” de l’OTAN, qui produit des rapports sur les moyens de contrôler les réseaux sociaux et d’orienter l’opinion publique européenne.

STRATCOM comprend la communication stratégique, les Info Ops (opérations d’information), le Mil PA, les affaires publiques militaires, et les opérations psychologiques PsyOps qui font l’objet de ce rapport et sont censées consister en la diffusion d’informations que le public doit pouvoir attribuer à l’OTAN ou à ses alliés.

Dans les faits, comme c’est écrit dans le rapport en langage STRATCOM, ça donne : “informer et influencer de manière appropriée les attitudes et les comportements d’un public par le biais d’une approche narrative et centrée sur le comportement, en vue d’atteindre l’état final souhaité”.

    • Que veut dire “de manière appropriée” pour le chef des génies de l’OTAN, dirigée par l’armée américaine ?
    • Le terme “un public” est hypocrite : il s’agit clairement de la population civile en France et dans le reste de l’OTAN
    • Quelle est cette “approche narrative” ? Une réalité travestie, des mensonges ânonnés sans fin, la censure des informations divergentes ?
    • Et pourquoi “centrée sur le comportement” ? Le but est-il de modifier les comportements des citoyens en plus de leur laver le cerveau ? Dans ce cas il s’agit de contrôle des masses avec des moyens militaires et de haute technologie.
    • Et quel est cet “état final” dont parle STRATCOM ? La léthargie ? L’adhésion totale au délire otanesque ?

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