102e étude sur l’ivermectine, 99,6 % d’efficacité en EHPAD

On nous a menti au-delà de l’imaginable et pas une semaine ne passe sans que nous soient annoncées de nouvelles études prouvant l’efficacité de quelques traitements qui nous ont été interdits. Souvenons-nous quand même de cette période où l’on achevait les personnes âgées dans les Ehpad à coup de Rivotril pour ne surtout pas tenter de leur sauver la vie avec des traitements à base d’ivermectine, d’hydroxychloroquine ou d’azithromycine. Et ce n’est pas la lecture de cet article qui pourra apaiser, les époux, épouses ou enfants de victimes de cette folle politique. Mais combien d’entre eux ont fait justice ou poursuivent au moins le combat pour qu’elle soit un jour rendue ? (NDLR)

Article du docteur Gérard Maudrux

La pandémie de Covid a représenté un défi sans précédent pour les maisons de retraite, médicalisées ou non. Une 102e étude (colombienne) vient d’être publiée, intéressante car elle concerne la vraie population à risque qu’il convient de soigner en cas de Covid : les personnes très âgées avec comorbidités. C’est là que l’on peut voir les vrais résultats significatifs, pas dans une population de 40-50 ans sans comorbidités comme on le voit dans toutes les études faites pour dénigrer les traitements précoces, donnant des résultats toujours positifs mais présentés comme « statistiquement non significatifs ».

En préambule rappelons une vaste étude aux USA sur la mortalité, Covid et non-Covid, selon la qualité des établissements. Les données de l’étude concernent 14 905 maisons de retraite ayant déclaré les causes de mortalité, 516 maisons ayant été éliminées pour rapports insuffisants ou incohérents (étude traduite ici).

Les auteurs américains relèvent, au 15 août 2021, 634 200 décès dus au Covid aux USA dont 137 318 (21 %) en maison de retraite, avec un taux de 87 décès pour 100 000 hors maisons de retraite, contre 9 200 pour 100 000 dans ces établissements, soit 108 fois plus. En ne tenant compte que des plus de 65 ans, cela fait 23 fois plus. Dans certains États, 12 % des pensionnaires sont décédés, avec des variations entre États pouvant aller de 1 à 10 qu’ils n’expliquent pas. Fin 2020, 17 % des établissements ne signalaient aucun décès. Il est clair que certains devaient traiter, d’autres pas, seule explication crédible pour expliquer ces différences.

Les auteurs ont classé les établissements de seniors selon la qualité des prestations et soins, constatant qu’en début d’épidémie (au 13 septembre 2020), la mortalité Covid était inférieure de 15 % dans les 5 étoiles, par rapport aux 1 étoile, certaines mesures ayant peut-être mieux empêché le Covid d’entrer ou de se propager. Toutefois, ils constatent également que la mortalité non-Covid dans les établissements haut de gamme était supérieure de 11,4 % au 13 septembre 2020 et de 15 % au 15 avril 2021. Ils attribuent cette surmortalité hors Covid probablement aux mesures d’isolement et à la solitude, plus sévères dans ces établissements, comme le montrent nombre d’études citées dans l’article. Les auteurs n’éliminent pas non plus la possibilité que si les maisons de moindre qualité ont connu moins de décès non-Covid, c’est sans doute que les résidents les plus fragiles sont morts du Covid. Notons qu’il y a peu de chances de biais concernant les déclarations, car depuis le 8 mai 2020 la déclaration au CDC était obligatoire sous peine d’amende de 1 000 $ en cas de carence. Le tout était publié chaque semaine.

Lire la suite

Cardiologues et cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe

Aux États-Unis les données sont publiques : 66 % de décès cardiaques en plus

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Mort subite d’origine cardiaque chez les personnes plus jeunes, en hausse de 66 % (21 sigma), la mortalité liée à l’abus de drogues étant supprimée des données. C’est austère, mes amis. Les anecdotes ne sont pas fausses. Si vous êtes un consommateur de drogue occasionnel et que vous avez reçu le vaccin à ARNm, consultez immédiatement votre médecin.

Pour ceux qui ne savent pas lire les graphiques, la création de ces données commence le 26 décembre 2020, 12 jours après le déploiement du vaccin auprès des professionnels de la santé et des personnes à risque. Il ne s’agissait pas uniquement de personnes âgées.

À la semaine 39 2023, la mort cardiaque subite chez les jeunes s’élevait à 930 décès par semaine. Il s’agit de 131 000 jeunes morts, dont une partie était des consommateurs de drogues occasionnels qui n’avaient aucune idée que leur cœur avait été endommagé/affaibli par le vaccin à ARNm.

Cela n’inclut pas les décès d’usagers d’héroïne, de fentanyl et de méthamphétamine. Le 131K inclut les décès survenus en fumant un J, en buvant une bière ou en étant décédés, mais « ayant déjà pris de la drogue » — mais pas au moment de leur décès.

Félicitations à Chris Cuomo @ChrisCuomo pour avoir montré notre analyse des tendances américaines en matière de décès par néoplasmes selon les codes CIM : C00-D48, 15-44 ans dans sa discussion.

Dr JF Lesgards Marseille
@marseille_jeff

Cardiologues & cancérologues reconnaissent en privé que depuis les « vaccins », c’est une hécatombe. Mais ils savent que s’ils parlent, ils sont finis. Même si cette tyrannie est organisée en très haut lieu, ne pas alerter les Français fait que nous avons cessé d’être une société.

Nouveau Monde

Pas vu à la télé : la mortalité infantile est en hausse

Un article du Dr Gérard Maudrux

Catherine Teilhet fouille inlassablement dans les statistiques officielles pour les rendre lisibles. Comme elle stocke les anciennes données pour les comparer avec les nouvelles, ce que ne font pas nos journalistes et se gardent de communiquer les autorités, la dernière fois elle nous informait de la disparition soudaine de milliers de pathologies et de décès dans les statistiques des effets secondaires des vaccinations de l’Agence Européenne du Médicament. Voici son dernier travail sur la mortalité infantile, texte et tableaux :

Les statistiques, c’est comme le bikini. Ce qu’elles révèlent est suggestif. Ce qu’elles dissimulent est essentiel“, Aaron Levenstein, économiste et statisticien américain …

Les données INSEE des décès infantiles toutes causes confondues de 2000 à février 2024 sont préoccupantes ; en effet, si, ainsi que le démographe Emmanuel Todd l’avait anticipé pour la Russie d’avant Vladimir Poutine, le taux de mortalité infantile est corrélé à l’état de santé général du pays, alors, la France va mal, vraiment mal !

Voici les données de la mortalité infantile des enfants de moins d’un an sur les 24 dernières années, alors que, bon an, mal an, les taux de mortalité infantile diminuent lentement, 2022 et 2023 sont des années à la hausse, à rebrousse poil de la baisse attendue…

 AGRANDIR

De même, pour les enfants de moins de 13 ans, 2022 affiche une recrudescence de mortalité, les rangs 12 et 11 sont les classements (en rouge et gras) des pires « scores » par année depuis 2012

AGRANDIR

Par contre, les taux de décès de l’année 2020, année du Covid, bien que supérieurs à ceux de 2016, 2017, 2018 et 2019, sont nettement inférieurs à ceux de 2022, année des énièmes doses d’injections anti-Covid … Bizarre, vous avez dit bizarre, pas de matraquage médiatique à ce sujet ? Doit-on en conclure qu’il fut moins mortel de laisser dépérir sans soins des dizaines de milliers de personnes âgées, voire de les achever à coup de Rivotril, que d’injecter les survivants, à moins que j’ai raté un épisode, une météorite aurait-elle heurté brutalement la France, semant la mort sur son passage en 2022, je n’en n’ai pas souvenance ?

AGRANDIR

Mais qui décède depuis quatre ans ? Les plus de 65 ans, et, en 2022, les nouveau-nés, la barrière placentaire n’a peut-être pas pu suffisamment les protéger des injections lors de la grossesse, suis-je médisante …

AGRANDIRde 5 à 10 % selon les pays

Signalons également que quasiment tous les pays au monde signalent une baisse de la natalité de 5 à 10 % selon les pays, depuis 2-3 ans. Lorsqu’elle était préexistante comme en France, l’aggravation est nette.

Covid : Faits et chiffres

Folie : le gouvernement annonce des réquisitions pour l’Ukraine ! (vidéo 12:40)

Nous y voilà ! Les « complotistes » avaient encore raison lorsqu’ils alertaient sur les dangers de la loi de programmation militaire prévoyant explicitement des réquisitions. Une nouvelle étape importante vient encore d’être franchie avec les déclarations du ministre des armées. Les gentils petits moutons vont-ils enfin se réveiller ? On veut y croire ! (NDLR)

Surmortalité vaccinale : mythe ou réalité ?

Un article du Docteur Gérard Maudrux :

L’apparition d’une surmortalité est de plus en plus indiscutable. C’est un fait. Mais quelle en est la ou les causes ? Ce point est très discuté, mais cela le sera probablement de moins en moins. Aux USA, lu dans JAMA, l’espérance de vie est ainsi passée de 78,8 ans en 2019 à 77 ans en 2020 (normal avec le covid), et 76,1 ans en 2021 (moins normal).

Pour les uns, c’est le vaccin, pour d’autres, c’est le réchauffement climatique, la pollution, et quelques élucubrations que j’ai vu passer. Pour ce qui est du réchauffement, il est réel, mais si la chaleur était en cause, il y a longtemps qu’il n’y aurait plus d’habitants sur le continent africain, et pourtant sa population se multiplie plus rapidement que nous. Pour ce qui est de la pollution, tout aussi réelle, ses méfaits sont très progressifs, peu visibles d’une année sur l’autre, ce qui n’est pas le cas avec la surmortalité actuelle, d’augmentation brutale. Il faudrait aussi qu’on nous apporte la preuve de ces affirmations, avec les mêmes règles que ce qu’on exige pour valider un décès post vaccin. Il ne peut y avoir deux poids deux mesures.

Reste donc les vaccins, d’autant plus que l’on voit apparaître nombre de pathologies inattendues (que certains prévoyaient il y a 3 ans). Maintenant, pour avancer les preuves de cette possible cause à la surmortalité constatée, ce n’est pas évident. Malheureusement, cette crise covid aura bien démontré ce que tout le monde savait ou supposait : peut-on se fier aux statistiques ? La réponse est non, n’importe quel statisticien peut faire dire ce qu’il veut, ce qu’on lui demande, aux chiffres.

Gallup que je citais dans le billet précédent n’était pas n’importe qui, les anciens se rappellent comme on citait les sondage Gallup aux USA, et dans le monde, comme on cite l’Ifop, Harris ou BVA chez nous. Il disait qu’il était capable de prouver l’existence de Dieu avec les statistiques. Churchill disait qu’il ne croyait aux statistiques que quand il les avait lui-même falsifiées, et Chirac, reprenant Marc Twain, que la statistique était la troisième forme du mensonge. La valeur de ces statistiques fait l’unanimité, il n’y a que les manipulateurs qui les utilisent sans prudence.

Lire la suite

Google est-il vraiment raciste ou simplement foireux ? (vidéo 41 min)

Les révélations de ce « live » sont énormes, ahurissantes même. Réussiront-elles à sortir de leur torpeur nos contemporains ? Le sujet est sensible, raison de plus pour ne pas l’esquiver, et cette fois le géant Google a poussé un peu trop loin la manipulation. Même les plus conformistes des conformistes et les plus soumis à la pensée unique finissent par renâcler. Personnellement, je n’utilise plus du tout le moteur de recherche Google depuis une bonne vingtaine d’années. Avec DuckDuckGo, Startpage, Qwant et quelques autres, nous avons largement de quoi nous passer de ce géant du fichage et du flicage. A faire circuler sans modération. (NDLR)

Lire aussi l’article « Le racisme anti-Blancs de l’IA Google Gemini« 

Nathalie Marquay associe le décès de son époux, Jean-Pierre Pernaut, au vaccin Covid

Pour Nathalie Marquay, épouse de Jean-Pierre Pernaut (décédé en mars 2022), les causes de la mort de ce dernier suscitent des interrogations, Marquay suggérant que ce n’était pas le cancer du poumon qui l’a emporté, mais plutôt des complications liées à la vaccination Covid. La vérité sur les effets secondaires des vaccins Covid commence peu à peu à resurgir. Les effets secondaires à court, moyen et long termes inquiétent, d’autant plus que beaucoup sont encore inconnus et que d’autres sont potentiellement mortels.

Pour les autorités sanitaires, les vaccins à ARNm sont considérés comme les meilleurs outils de lutte contre le Covid-19. Avec la crise du Covid, les régulateurs internationaux ont rapidement autorisé leur utilisation. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont incité les populations à se faire vacciner plutôt que les arguments sanitaires. Actuellement, des effets secondaires non reconnus auparavant continuent d’être signalés. Dans une interview jeudi avec Gala, Nathalie Marquay, épouse de feu Jean-Pierre Pernaut, a affirmé que son mari n’était pas mort du cancer, mais de la vaccination Covid-19. Outre les cas d’inflammations cardiaques (myocardites) qui sont les plus mis en avant, de plus en plus de cas commencent à soulever d’autres effets toxiques des vaccins.

Le Canada fait état d’une augmentation de 300 % des décès de “causes non spécifiées”, ce qui suscite des demandes d’enquête

Un nouveau rapport du gouvernement canadien révèle une augmentation de 300 % des « causes non spécifiées » de décès entre 2019 et 2022, les causes inconnues devenant la cinquième cause de décès au Canada. Certains experts de la santé ont déclaré que cette augmentation brutale devrait déclencher une enquête pour déterminer si les décès sont liés aux vaccins Covid-19.

Alors que l’espérance de vie s’effondre au Canada, un nouveau rapport du gouvernement affirme que les “causes non spécifiées” sont devenues la cinquième cause de décès dans le pays, après le cancer, les maladies cardiaques, le Covid-19 et les accidents.

D’après Statistique Canada les “causes non spécifiées” en 2022 ont dépassé les accidents vasculaires cérébraux, les anévrismes, la bronchite chronique, l’emphysème, l’asthme, le diabète, la grippe et la pneumonie, les maladies chroniques du foie et la cirrhose, la maladie d’Alzheimer et le suicide en tant que causes de décès.

Statistique Canada, également connu sous le nom de StatCan, a publié le rapport le 27 novembre dans Le Quotidien, le bulletin d’information en ligne de l’agence.

Le rapport a donné lieu à une série de titres presque identiques – fournis par le service national d’information du Canada – dans les principaux journaux du pays, à l’instar de celui-ci dans le Toronto Sun: “L’espérance de vie des Canadiens a chuté pour la troisième année consécutive en 2022, selon StatCan”, suivi du sous-titre : “Plus de personnes sont mortes  du Covid-19 en 2022 qu’en toute autre année depuis le début de la pandémie, selon le rapport”.

Lire la suite

Japon : quand un peuple se fait hara-kiri, la seringue a remplacé le sabre et la pays perd 800 000 habitants par an

Mais qu’est-ce qui a bien pu arriver au Japon en 2021, 2022 et 2023 ? Et dans tous les pays qui laissent libre-accès à leurs statistiques médicales et de mortalité ? En France, tout reste caché puisque la crise sanitaire a immédiatement été classée « Secret-Défense ». Dommage, il y aurait sans doute eu quantité d’enseignements à tirer de la politique sanitaire de ces dernières années. (NDLR)

 

La surmortalité pour 2023 est évidente quand on se débarrasse des modèles de prévision et qu’on revient aux chiffres annuels bruts. L’écart à la tendance pluriannuelle démontre de manière irréfutable combien http://exdeaths-japan.org/en publie des informations déformées.

Les autorités parlent de 11% de décès attendus en plus alors que le nombre des plus de 80 ans augmente seulement de 2%

https://t.co/GIV1CoLTJO

On comprend un peu mieux pourquoi le #Japon tient à ce point à masquer l’augmentation anormale des décès, lorsque l’on compare ceux-ci aux naissances. En 2022 : 770k naissances pour 1 577k décès Soit une diminution de la population de 806 mille personnes.

Augmentation du nombre de cancers du sein chez les femmes de moins de 50 ans : Les téléphones portables jouent-ils un rôle ?

Des études récentes montrent que le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez les femmes de moins de 50 ans, ce qui alimente les préoccupations de longue date concernant un lien possible entre des appareils tels que les téléphones portables et le cancer.

Selon deux nouvelles études évaluées par des pairs, le cancer du sein à début précoce est en augmentation chez les jeunes femmes aux États-Unis, ce qui amène certains experts à se demander si l’utilisation du téléphone portable ne serait pas, au moins en partie, à l’origine de ce phénomène. […]

Devra Davis, docteur en sciences, MPH, toxicologue et épidémiologiste […] a déclaré au Defender: “ […] Mais,  il existe des preuves irréfutables que les champs électromagnétiques [EMFs] accélèrent la croissance des cellules cancéreuses du sein. “Nous savons depuis près de 30 ans que les CEM peuvent accélérer la croissance des cellules cancéreuses du sein MCF-7“, a déclaré Mme Davis. […] Selon Mme Davis, des recherches antérieures ont montré que les rayonnements de radiofréquence (RF) émis par les téléphones portables se déplacent facilement à travers la graisse et les fluides – “et le sein n’est rien d’autre que de la graisse et des fluides”, a-t-elle déclaré.

En outre, une étude évaluée par des pairs réalisée en 2020 a révélé que l’utilisation excessive des smartphones “augmentait de manière significative” le risque de cancer du sein, les personnes utilisant un téléphone portable pendant plus de 4,5 minutes avant le coucher présentant un risque de cancer du sein multiplié par 5,27 par rapport à celles qui utilisent un smartphone moins longtemps.

Les auteurs de l’étude ont déclaré : “À notre connaissance, nous sommes les premiers à constater que l’utilisation excessive du smartphone augmente de manière significative le risque de cancer du sein, en particulier chez les participantes ayant une addiction au smartphone, qui maintenaient une courte distance entre les seins et le smartphone, et qui avaient l’habitude d’utiliser le smartphone avant le coucher.” […]

Lire la suite

La contamination par l’ADN plasmidique des vaccins COVID-19 constitue une « violation manifeste du consentement éclairé » de la part de la FDA : Dr. Malone (Zerohedge.com)

Le Dr Robert Malone, inventeur des vaccins à ARNm et à ADN, a critiqué les agences de réglementation de la santé pour ne pas avoir informé les gens de la contamination potentielle par l’ADN plasmidique dans les vaccins à ARNm COVID-19.

Covid dna
Un agent de santé prépare une dose du vaccin COVID-19 de Pfizer BioNTech. (Ezra Acayan/Getty Images)

Une étude publiée le 19 octobre a révélé la présence de milliards de fragments d’ADN résiduels dans les flacons du vaccin COVID-19 à ARNm. Alors que des milliards de copies d’ADN spike, ori et SV40 enhancer ont été découvertes dans les flacons du vaccin Pfizer, les flacons Moderna contenaient des copies d’ADN ori et spike. Le virus SV40 est un virus à ADN connu pour provoquer des cancers chez les animaux de laboratoire.

Parlant de l’étude dans un article publié le 11 novembre sur Substack, le Dr Malone a déclaré que la contamination des vaccins par l’ADN plasmidique est un « fait avéré » qui a été « reconnu par la FDA américaine, Santé Canada et l’Agence européenne des médicaments ».

« Dans une autre violation manifeste des exigences en matière de consentement éclairé et d’étiquetage, ce fait n’a pas été divulgué aux médecins, aux responsables de la santé publique ou aux patients », écrit-il.

Par exemple, les directives d’étiquetage de la FDA exigent que les étiquettes des vaccins contiennent une description des « effets indésirables graves, des risques potentiels pour la sécurité, des mesures à prendre en cas d’effets indésirables graves et de risques potentiels pour la sécurité, ainsi que des restrictions d’utilisation qu’ils imposent ».

Les vaccins ARNm Pfizer et Moderna COVID-19 « sont contaminés par des fragments d’ADN plasmidique qui n’ont pas été éliminés au cours des processus de fabrication actuels », a écrit le médecin. Un plasmide est un brin d’ADN circulaire commun aux bactéries et à certains parasites.

Le Dr Malone a déclaré que les directives antérieures de la FDA sur la technologie des vaccins à ADN soulignaient la présence de « séquences régulatrices hautement actives comme étant particulièrement préoccupantes en raison de la mutagénèse insertionnelle potentielle (intégration) ».

Le document de 2009 de la FDA intitulé « Guidance on Prophylactic DNA Vaccines : Analysis and Recommendations » de la FDA indique que les inquiétudes concernant l’intégration potentielle de l’ADN plasmidique dans le génome du receveur du vaccin et l’augmentation de la probabilité de problèmes tels que « la transformation maligne, l’instabilité génomique ou la dysrégulation de la croissance cellulaire » ont été soulevées lorsque les vaccins à ADN ont été initialement introduits pour un usage clinique.

Lire la suite

Et si la prochaine pandémie touchait en priorité les tout-petits ?

Et si la prochaine pandémie attaquait en priorité les bébés? https://www.tv5monde.com/emissions/episode/l-invite-jean-francois-delfraissy

Des virus respiratoires s’unissent en un hybride jamais vu

Pour la première fois, on a observé la fusion de deux virus respiratoires bien connus: un virus de la grippe A (H1N1) et un virus respiratoire syncytial (VRS).

L’hybride résultant de cette union arrive d’ailleurs à confondre le système immunitaire quant à son identité complète.

On savait déjà que des virus grippaux distincts, mais proches parents, pouvaient échanger du matériel génétique et se recombiner. Mais ce mécanisme n’avait jamais été observé chez des virus aussi différents l’un de l’autre.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Glasgow qui ont introduit les deux virus en même temps dans une même cellule, en laboratoire.

Ils espéraient comprendre mieux ce qui se produit lors de co-infections – des infections multiples, simultanées ou proches dans le temps.

C’est ainsi qu’ils ont pu observer la création d’un pathogène hybride. Cet hybride s’est aussi montré capable, lors de tests, de se servir de son “visage” VRS pour échapper aux anticorps normalement capables d’inhiber le virus de la grippe A.

Ce nouveau mécanisme mis en lumière, s’il n’est pas acquis qu’il puisse se produire naturellement, est néanmoins très intéressant. Il pourrait permettre, à terme, de mieux comprendre les co-infections, de mieux les traiter, voire de développer des vaccins capables de nous prémunir contre plusieurs virus à la fois.

Lire la suite

Révélation : Le principal investisseur de NewsGuard, sous contrat avec le gouvernement, est un partenaire de Pfizer

Lors d’un échange mis en lumière par les révélations des « Twitter Files » sur la censure des médias, Crovitz, ancien éditeur du Wall Street Journal, a vanté son produit, NewsGuard, comme un « vaccin contre la mésinformation ». Son argumentaire écrit mettait en avant un « produit séparé » – au-delà d’une extension déjà présente sur le navigateur Microsoft Edge – « pour une utilisation interne par les équipes de modération de contenu ». Crovitz a promis un outil prêt à l’emploi qui utiliserait l’intelligence artificielle alimentée par les algorithmes de NewsGuard pour filtrer rapidement les contenus sur la base de hashtags et de termes de recherche que l’entreprise associe à des contenus dangereux.

Comment l’entreprise détermine-t-elle la vérité ? Pour des questions telles que le COVID-19, NewsGuard orienterait les lecteurs vers des sources gouvernementales officielles uniquement, comme les Centres fédéraux de contrôle des maladies. Les autres alliés de la modération de contenu, selon la présentation de Crovitz, sont les « responsables du renseignement et de la sécurité nationale », les « fournisseurs de gestion de la réputation » et les « agences gouvernementales », qui passent des contrats avec l’entreprise pour identifier les tendances en matière de mésinformation. Au lieu de se contenter de vérifier les faits sous différentes formes d’informations incorrectes, NewsGuard, dans sa proposition, vantait sa capacité à évaluer la « fiabilité globale des sites web » et à « pré-bunker » la mésinformation relative au COVID-19 à partir de centaines de sites web populaires.

La proposition de NewsGuard, qui a finalement échoué, met en lumière un aspect des efforts croissants déployés par les gouvernements du monde entier pour contrôler les discours, qu’il s’agisse d’une véritable désinformation ou d’une dissidence par rapport aux récits officiellement approuvés. Aux États-Unis, comme l’ont révélé les Twitter Files, cet effort prend souvent la forme d’appels directs du gouvernement aux plateformes de médias sociaux et aux organes d’information. Le plus souvent, le gouvernement collabore avec des organisations non gouvernementales apparemment inoffensives, telles que l’Observatoire de l’Internet de Stanford, pour réprimer les discours qu’il désapprouve.

Ou bien il paie pour imposer un discours par le biais de contrats gouvernementaux avec des entreprises telles que NewsGuard, une société à but lucratif dont l’influence est particulièrement grande. Fondée en 2018 par Crovitz et son co-PDG Steven Brill, avocat, journaliste et entrepreneur, NewsGuard cherche à monétiser le travail de remodelage de l’Internet. Le marché potentiel d’une telle police de la parole, a noté le discours de NewsGuard à Twitter, était de 1,74 milliard de dollars, une industrie qu’il espérait capturer.

Lire la suite

Le petit garçon utilisé pour la propagande en faveur du « vaccin » anti-Covid en Israël est mort d’une crise cardiaque

garçon vaccin covid Israël
Crise cardiaque dans le bain, noyade, décès. Ce n’est pas le genre de mort que l’on imagine pour garçon de 8 ans, et c’est pourtant le sort tragique qui a frappé le petit Yonatan Moshe Erlichman en septembre dernier. La petite victime a été emmenée aussitôt aux urgences à l’hôpital Hadassah-Mount-Scopus à Jérusalem ; il y est mort quelques jours plus tard, le 28 septembre. Yonatan avait figuré il y a trois ans dans une vidéo de propagande du gouvernement israélien visant à encourager les parents à faire vacciner les jeunes enfants contre le covid-19.

Le « vaccin » anti-Covid en Israël a été donné à 20 % des enfants de 5 à 11 ans

Son petit visage angélique était devenu emblématique des campagnes officielles pour la vaccination, alors qu’Israël figurait dans le peloton de tête des pays qui avait imposé les mesures les plus draconiennes à cet égard. La vidéo avait été diffusée juste avant le début de la première campagne de vaccination en décembre 2020. En définitive, en septembre 2022, seuls 20 % des enfants avaient été vaccinés dans l’État hébreu, témoignant de la marche arrière de nombreux parents qui n’avaient envisagé cette option qu’en raison des mesures de quarantaine et d’exclusion imposées par les autorités. Dès les mesures levées, une bonne proportion des parents qui avaient annoncé vouloir faire vacciner leurs enfants de 5 à 11 ans avaient renoncé.

Yonatan était le petit-fils d’un médecin respecté de la région.

Un garçon de huit ans qui meurt d’un infarctus, cela mérite une enquête !

Sa mort était totalement inattendue, rien ne laissant prévoir cet infarctus qui a eu pour résultat de faire glisser l’enfant dans l’eau ; il a été découvert inanimé, trop tard pour pouvoir le sauver.

On attend une enquête officielle sur la cause du décès… mais viendra-t-elle un jour ? Etait-il vacciné ? Et si oui, y avait-il un lien entre le vaccin et le décès ?

Il est connu en effet que le vaccin mRNA peut causer des problèmes cardiaques, notamment chez les plus jeunes, chez qui le très hypothétique bénéfice de la piqûre est négatif, vu que le covid ne les a jamais menacés.

Réinformation TV

Pierre Bergé, Jack Lang et Jeffrey Epstein ! Les nouvelles révélations explosives

Pierre Bergé, Jack Lang et Jeffrey Epstein

« Poursuivant son portrait de Jack Lang dans @ParisMatch, Sophie des Déserts évoque le mystérieux don de 57 897 dollars effectué en 2018 par Jeffrey Epstein à l’Association pour la promotion de la politique culturelle nationale menée dans les années 1980 et 1990 du XXe siècle, une association domiciliée et gérée par l’entourage proche de Jack Lang. Contrairement à ce qu’écrit Paris Match, l’affaire n’a pas été révélée par Atlantico mais aux États-Unis par The Daily Beast (5 octobre 2020), puis par Politico (14 octobre 2020). En outre, la relation entre Jeffrey Epstein et Jack Lang était déjà bien connue et paraît surtout beaucoup plus ancienne. Figure par exemple dans la première partie du Livre noir regroupant les contacts de Ghislaine Maxwell, la fille cadette de Jack Lang, Caroline Lang qui a commencé sa carrière dans l’orbite de Robert Maxwell chez Maxwell Communication de rejoindre Warner. Aussi l’intendant parisien de Jeffrey Epstein avait-il évoqué, dès l’été 2019, les visites, au 22 avenue Foch, de « « ministres en fonction aujourd’hui [NDA : donc du gouvernement Philippe] ou ayant appartenu à des gouvernements passés ». Parmi eux figure Jack Lang […] qui l’a convié en mars [2019] aux célébrations des 30 ans de la pyramide du Louvre. Les deux hommes se sont rencontrés il y a plusieurs années lors d’un dîner organisé en l’honneur de Woody Allen au domicile parisien de la princesse de Bourbon des Deux-Siciles. « Epstein était une personne charmante, courtoise et agréable », déclare Jack Lang, qui évoque une « relation de rencontre ». « Je me suis rendu une seule fois chez lui avenue Foch pour un déjeuner. C’est vrai qu’il était souvent accompagné de quelques jolies femmes, mais qui n’étaient à l’évidence pas des mineures », déclare l’ancien ministre » (France Info, 30 août 2019). Les clichés de la sauterie organisée pour les trente ans de la pyramide du Louvre à laquelle Jeffrey Epstein avait été convié par Jack Lang sont aujourd’hui totalement introuvables…

Au rang de la « longueur » et de la « ramification » des réseaux, le nom de Madison Cox, grand amour et héritier de la fortune de Pierre Bergé qui l’avait « épousé » dans les derniers mois de sa vie, surgira à l’été 2019 quand circulera la version non-expurgée du Livre Noir de Jeffrey Epstein daté de 2004-2005 (cf. Faits & Documents n° 471 à 481 avec des compléments parus dans les numéros 503, 505 et 506). Paysagiste pour milliardaires internationaux et décorateur des jardins des propriétés de Bergé en France et au Maroc, Madison Cox occupe une place de choix dans le carnet d’adresses du maître-chanteur du gotha mondial, avec une entrée très bien renseignée dans la rubrique concernant l’île d’Epstein, Little Saint-James. Incontesté et incontestable, ce document qui suggère au moins une collaboration à l’aménagement de la tristement célèbre île de la pédophilie ne sera jamais évoqué par la grande presse en France où l’image de Madison Cox sera ripolinée, en liaison avec le communicant Sacha Mandel, par Paris Match (4 novembre 2021), toujours sous la plume de Sophie des Déserts…

Le 4 octobre 2019, France Info ouvrait une piste qui mériterait d’être explorée en révélant que le majordome franco-brésilien de Jeffrey Epstein, Valdson Vieira Cotrin, fut précédemment au service de François Dalle, l’ancien patron de L’Oréal qui constitua, aux côtés d’André Bettencourt et de Pierre Bénouville (dit Pierre Guillain de Bénouville), le clan des amis de jeunesse et des fidèles de toujours de François Mitterrand (cf. En bande organisé : Mitterrand, le pacte secret, Sébastien Le Fol, Albin Michel, 2023).

Quant à la dernière affaire évoquée par Sophie des Déserts, celle des costumes Smalto, sa mention dans la partie de l’article relative à la pédophilie ne peut qu’interroger sur la nature des liens entre Jack Lang et Alain Duménil (Faits & Documents n° 468), personnage central de l’affaire des fonds cachés de la DGSE… »

Source : Planètes 360

ALERTE conflit en Israël. Point sur la situation et dossier spécial

 

Où en sommes-nous ? Les nouvelles sont mauvaises d’où qu’elles viennent.

Les États-Unis sont en train d’envoyer 2 porte-avions ce qui est considérable, auquel vient s’ajouter un groupe de débarquement amphibie. La marine grecque est actuellement en cours de mobilisation et va accompagner et protéger les flancs du groupe aéronaval américain. Israël se prépare intensivement à une guerre longue et majeure.

Alors que le ministre des Affaires Étrangères iranien approchait en avion de Damas pour rencontrer Bachar el Assad, Tsahal a bombardé les deux principaux aéroports syriens en détruisant, dans ce qui est qualifié de frappes préventives, les aéroports d’Alep et de Damas.

Des vidéos émergent toutes plus abjectes des atrocités commises pendant cette journée effroyable tout ayant été filmé de toute part. Le désir de vengeance côté israélien est très fort.

Du côté des Palestiniens ce sont des années de rancœur, que dis-je des décennies de rancœurs accumulées.

D’autre vidéos sortent où l’on entendrait parler… russe. L’Iran se prépare depuis des années à une confrontation jugée inévitable, de même que la Russie et la Chine.

Le Moyen-Orient est donc devenu en quelques heures une poudrière.

La poudrière mondiale vers laquelle toutes les armées du monde pourraient converger et les grandes puissances régler les comptes une bonne foi pour toute. Vous le voyez la situation est grave. Très grave.

Les pertes humaines d’ores et déjà effroyables. Dans cette édition vous trouverez la vidéo de l’intervention de haut vol de l’ancien ministre Dominique de Villepin sur France Inter. Cela permet de prendre un peu de hauteur, notamment pour les plus jeunes, ceux qui n’auraient pas vécu et connu le 11 septembre 2001, ses conséquences effroyables et le besoin indiscriminé de vengeance des Américains qui n’a apporté que ruine et destruction au monde entier. Des années de guerre. Presque deux décennies en réalité pour un résultat négligeable et un bilan humain de plusieurs centaines de milliers de morts.

Lire la suite

Confirmation du lien « vaccin » anti-Covid et myocardite !

Le Dr McCullough signale qu’il existe 800 articles évalués qui confirment la myocardite et les caillots causés par le « vaccin » anti-Covid !

Le Dr McCullough signale qu’il existe 800 articles évalués par des pairs sur la myocardite induite par le vaccin Covid.

La pathogenèse de ce que nous voyons est l’arrêt cardiaque induit par le vaccin Covid-19.

L’inquiétude est que les vaccins ne fonctionnent pas, que les patients souffrent quand même du Covid, et que parfois l’inflammation du Covid relance certains processus pathogènes, potentiellement la myocardite, mais aussi les caillots sanguins, c’est certain, a-t-il déclaré.

Cliquez sur ce LIEN, si vous ne voyez pas la vidéo.

https://www.etresouverain.com/800-articles-evalues-confirment-la-myocardite-et-les-caillots-causes-par-le-vaccin-covid/

Le Portail du Grand changement

« La destruction d’EDF, drame absolu, a été structurée, voulue et obtenue » : les vérités d’Henri Proglio sur le nucléaire

Proglio

Henri Proglio, ancien PDG d’EDF.     © WOSTOK PRESS/MAXPPP

Par

L’audition de l’ancien PDG d’EDF, en décembre dernier par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale « visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d’indépendance énergétique de la France » avait été explosive. Découvrez un extrait du séminaire de la fondation Res Publica dans lequel Henri Proglio explique les raisons de la destruction de ce fleuron national.

Marianne publie des extraits d’un séminaire tenu le mercredi 29 mars par la Fondation Res Publica sur le thème : « L’avenir de la filière nucléaire française ». Organisé autour d’Henri Proglio, ancien PDG d’EDF (2009-2014) et de Véolia Environnement (2003-2009), président du Conseil d’administration de Thales (depuis 2014), membre du Conseil international de Rosatom, ce séminaire a eu pour vocation d’interroger les raisons de la destruction d’EDF et de la perte, par la France, de son indépendance énergétique.

Henri Proglio est par ailleurs revenu sur le virage de l’opinion publique sur le nucléaire civil et sur les priorités à fixer, du point de vue des moyens humains, du budget et des coopérations internationales, pour que la filière retrouve son efficacité et sa compétitivité, au service de la réindustrialisation du pays. Cette dernière partie porte sur les récentes évolutions politiques et réglementaires en la matière : esquisse d’un retour à la planification énergétique, loi sur l’accélération du nucléaire, nationalisation d’EDF, réforme du marché européen de l’électricité, taxonomie européenne, etc. Vous pouvez découvrir l’exposé d’Henri Proglio dans son intégralité ici, ou bien le débat qui a suivi après son intervention ici avec Joël Barre, délégué interministériel au nouveau nucléaire, ancien délégué général pour l’armement (2017-2022) ; Yves Bréchet, haut-commissaire à l’énergie atomique (2012-2018) ; et Louis Gallois, co-président de la Fabrique de l’industrie.

Lire la suite

Vaccination Covid, un autre pilote mort : cinq cas d’arrêt cardiaque parmi les pilotes, trois sont morts en une semaine

Le mois d’août 2023 a été témoin d’une série d’urgences sanitaires en vol qui ont tragiquement coûté la vie à plusieurs pilotes. La communauté aéronautique est aux prises avec la dure réalité des risques associés à une incapacité soudaine des membres d’équipage de conduite, soulignant le besoin urgent d’une meilleure préparation médicale et de mesures préventives au sein de l’industrie.

Un pilote d’IndiGo est tombé inconscient et s’est effondré à la porte d’embarquement, alors qu’il devait effectuer un vol de Nagpur à Pune. Il a été déclaré mort, laissant la communauté aéronautique en deuil et soulevant des questions sur les protocoles de surveillance de la santé des pilotes. Ce qui est choquant, c’est que ce décès marque une malheureuse séquence de mortalités parmi les pilotes.

« Outre les deux cas de mort subite en Inde, le 14 août, un pilote est décédé sur le vol chilien LATAM reliant Miami à Santia, au Chili. Dans deux autres cas d’incapacité, un pilote d’United Airlines effectuant un vol de Sarasota à Newark a souffert d’une crise cardiaque. « Le 7 août, un copilote d’un vol TigerAir reliant Sapporo à Taipei a eu une urgence médicale peu après l’atterrissage de l’avion à destination », a déclaré IndiGo dans un communiqué.

Le 9 août 2023, une tragédie a frappé le vol United Airlines UAL1309 de SRQ à EWR, lorsque le pilote a fait une crise cardiaque et a perdu connaissance en vol. L’incident a servi de rappel poignant de la nature imprévisible des urgences médicales et du rôle crucial d’une intervention rapide.

À peine deux jours plus tôt, le 7 août 2023, un copilote du vol IT237 de TigerAir reliant CTS à TPE au Japon s’est effondré immédiatement après son atterrissage à Taipei.

Cet événement déchirant s’est produit le 14 août 2023, lorsqu’un pilote du vol chilien LATAM reliant Miami à Santiago, au Chili, est décédé tragiquement en plein vol.

Lors d’un autre incident tragique, le 16 août 2023, la disparition prématurée d’un pilote senior de Qatar Airways qui effectuait le vol inaugural de SpiceJet, alors qu’il voyageait en tant que passager sur le vol Delhi-Doha, a provoqué une onde de choc dans l’industrie aéronautique. Le vol, QR579, a dû être détourné vers Dubaï en raison d’une urgence médicale du pilote senior.


Ces événements, qui se succèdent rapidement, mettent en lumière la nécessité cruciale d’évaluations médicales et de mesures préventives plus solides pour les professionnels de l’aviation. Alors que l’industrie aéronautique est guidée par des réglementations de sécurité strictes, ces incidents mettent en évidence les complexités et les défis qui surviennent lorsque les membres d’équipage sont confrontés à des urgences médicales pendant ou hors service.

« Je ne peux pas dire que c’est une tendance, mais étant donné notre mode de vie caractérisé par des habitudes de sommeil perturbées, le décalage horaire, etc., cela a certainement des conséquences néfastes sur notre corps. De plus, il serait utile de vérifier quel vaccin ont-ils tous pris, pour voir s’il y en a. aucune corrélation », a déclaré à IBTimes un pilote appelé Bandit sur Twitter.

La perte tragique de ces pilotes nous rappelle de manière poignante qu’assurer le bien-être du personnel aéronautique n’est pas seulement une question de sécurité mais aussi un impératif éthique. Alors que la communauté aéronautique est aux prises avec ces incidents déchirants, que faut-il faire pour renforcer davantage les mesures de sécurité existantes et améliorer la préparation médicale afin de minimiser les risques associés aux urgences sanitaires en vol ?

Interdire de vol les pilotes inoculés avec des substances ARNm…

Encore des steaks hachés Charal rappelés dans toute la France chez Leclerc, Carrefour, Auchan…

A ceux qui s’interrogeraient sur les causes de cette étrange multiplication de la redoutable bactérie E-Coli, nous ne saurions trop conseiller de s’intéresser au mode d’abattage qui explique sans doute en grande partie ces contaminations de plus en plus fréquentes. En quelques clics ils découvriront ce que les médias persistent à leur dissimuler… Je dis ça, je ne dis rien… (NDLA)

Des steaks hachés “Charal” sont susceptibles d’être contaminés à la bactérie E.Coli. Les acheteurs de lots concernés sont invités à ne pas consommer le produit et à le détruire.

Le site rappel.conso.gouv.fr signale ce mardi 22 août le rappel dans toute la France de steaks hachés de marque “Charal”. Des steaks hachés avec 5%MG, conditionnés par 1, 2 ou 6 unités, dans des formats “hebdopack”, sont susceptibles d’être contaminés à la bactérie E.Coli. Les consommateurs sont invités à ne pas consommer et à détruire les produits incriminés, qui ont été disponibles à la vente entre le 2 et le 14 août 2023.

 

Risque de diarrhées sanglantes et de vomissements

Rappelons que cette bactérie E.Coli peut entraîner, dans la semaine qui suit la consommation de produits contaminés crus ou insuffisamment cuits, des diarrhées parfois sanglantes, des douleurs abdominales et des vomissements, accompagnés ou non de fièvre. La cuisson à cœur (c’est à dire la disparition de la couleur rosée pour atteindre 70°C à coeur) des viandes hachées permet de prévenir des conséquences de ce type de contamination, précise Rappel.conso.

Le risque d’intoxication alimentaire ne doit pas être pris à la légère. C’est en substance le message de rappel de Santé publique France à la suite de la recrudescence de signalements de contaminations graves et au décès de deux enfants en février. Tous deux ont été induits par un syndrome hémolytique et urémique (SHU), lui-même provoqué par une intoxication à la bactérie Escherichia Coli.

Le site de rappel de produits ajoute que ces steaks hachés étaient distribués dans de nombreuses enseignes : Auchan, Carrefour, Simply Market, Casino, Diapar, Francap, Franprix, Leader Price, Intermarché, Leclerc, Match, Monoprix, , Système U, Segurel et Frais Distribution Antona.

Lire la suite

Les forces électro-motrices (EMF) pourraient être cancérigènes pour l’homme

La technologie sans fil exerce une pression sur le biochamp du corps humain en raison de l'exposition constante aux forces électromotrice (EMF).

Le danger invisible

De nombreuses personnes savent que les rayons ultraviolets et les rayons X peuvent provoquer des cancers.

Il s’agit de champs électromagnétiques (EMF) ionisants à haute fréquence. Les EMF ionisants sont considérés comme cancérigènes, alors que les EMF non ionisants, tels que le Wi-Fi, les signaux Bluetooth et les champs des appareils électroniques, ne le sont généralement pas. Cette perception a prévalu dans l’esprit du public pendant des décennies.

Cependant, moins de gens savent que certains EMF non ionisants sont également classés par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) comme cancérogènes de classe 2B, une catégorie indiquant une cancérogénicité potentielle pour l’homme.

David Carpenter, professeur de santé environnementale à l’université d’Albany et titulaire d’un doctorat en médecine de la Harvard Medical School, a noté que la radiofréquence, un type de rayonnement non ionisant utilisé dans les télécommunications, pourrait éventuellement être classée dans la catégorie 2A, ce qui signifie qu’il s’agit d’un cancérogène probable pour l’homme.

Oxydation, modifications de l’ADN et cancer

Le cancer est généralement causé par une mutation ou une modification de l’ADN. Des facteurs tels que les infections virales, les radiations et les toxines environnementales peuvent provoquer ces altérations de l’ADN.

Les EMF ionisants endommagent directement l’ADN. Les rayons ultraviolets, les rayons X et les rayons gamma éliminent les électrons de l’ADN, ce qui provoque des mutations. L’accumulation de mutations entraîne la malignité des cellules. L’organisme est habitué à une certaine quantité de ce type de dommages, en particulier ceux causés par la lumière du soleil. Les quantités excessives sont une autre affaire.

Les rayonnements non ionisants n’ont pas assez d’énergie pour endommager directement l’ADN. Pourtant plusieurs études ont établi un lien entre l’exposition aux EMF non ionisants et la rupture de l’ADN. Des cellules provenant de animaux exposés aux EMF et utilisateurs de téléphone ont montré des dommages génétiques.

Le cancer peut également être induit par le seul stress physiologique. C’est le cas de l’amiante et de l’arsenic, qui provoquent des cancers en l’absence de lésions directes de l’ADN.

C’est pourquoi le Dr Carpenter suggère que les EMF peuvent être cancérigènes simplement en induisant des « espèces réactives de l’oxygène » qui stressent l’environnement cellulaire par l’oxydation. Il a été démontré que l’oxydation générée par les EMF brisait l’ADN dans le sperme humain et les cellules de fibroblastes, ce qui indique des risques potentiellement cancérigènes.

Le professeur émérite Martin Pall, spécialiste en biochimie et en sciences médicales fondamentales à l’université de l’État de Washington, a expliqué que les EMF sont complexes en ce sens que des EMF plus forts ne signifient pas nécessairement des dommages plus importants à l’ADN. Au contraire, seules des fréquences et des intensités spécifiques ont un effet.

C’est ce qu’a montré une récente étude de l’Université du Colorado, qui a constaté qu’à une fréquence de 4,2 mégahertz (MHz), la masse des mitochondries des fibroblastes et des fibrosarcomes humains augmentait, ce qui induisait un stress cellulaire. Cet effet était absent à des fréquences plus élevées et plus basses.

Selon le CIRC, les EMF non ionisants potentiellement cancérigènes sont les suivants :

  1. EMF d’extrêmement basse fréquence communément trouvés à des fréquences de 50 à 60 Hz émis par les lignes électriques, les fils électroniques, et pratiquement tous les appareils alimentés électriquement.
  2. Les EMF de radiofréquence émis par les appareils sans fil tels que les téléphones, les modems Wi-Fi, les téléviseurs et les tours de téléphonie cellulaire utilisées dans les télécommunications. Ils sont également utilisés dans l’imagerie par résonance magnétique (IRM).

La recherche indique une rupture chromosomique après des séances d’IRM.

Le CIRC a classé les radiofréquences dans la classe 2B plutôt que dans la classe 2A, notamment en raison de l’absence de preuves d’un lien entre les radiofréquences et le cancer dans les études sur les animaux.

En revanche, l’étude du National Toxicology Program des États-Unis datant des années 1990 présentait des « preuves évidentes » de tumeurs cardiaques induites par la radiofréquence chez les rats, ainsi que « quelques preuves » de cancers du cerveau et des glandes surrénales.

L’étude de 2018 de l’Institut Ramazani a également découvert des tumeurs cardiaques et cérébrales chez les rats, s’alignant sur ces résultats.

Lire la suite